par Shindo » Jeu Aoû 30, 2007 12:20 pm
Que sur 100 de degats de poison infligé ou d'estoc infligés, tu prends 135 et 140 degats, ce qui est une énorme augmentation de degats dont les monstres n'hésitent pas à profiter.
Dans le jeu :
Les degats d'estoc sont des degats physiques qui ignorent les valeurs d'armure de ton adversaire, en gros c'est une sorte de degat physique qui fonctionne sur le meme principe que les degats magique classiques pour le calcul des degats réellement effectués.
Se sont des dégats assez difficile visuellement à détecter au contraire du poison, feu glace eclair, qui ont des effets visuels en général reconnaissable. Mais tu peux le savoir selon l'arme qu'utilise tes adversaires :
- Masse = 0
- épée = un peu
- Arc / javelot / lance = beaucoup
- pointu = estoc / contondant = dégat physique pur.
En suivant un raisonnement similaire, tu peux deviner quels seront tes adversaires qui seront plus ou moins sensibles à des dégats d'estocs de la meme maniére que tu devines qu'un élém de feu ne prend pas de dégats de feu.
Mais par exemple les oiseaux, harpies et les monstres qui ont tendance à utiliser leur griffes feront des degats d'estocs. Pour être pragmatique, beaucoup de monstres font des dégats d'estocs dans le jeu.
En pratique les degats d'estoc sont des degats infligés par des armes qui peuvent passer par les interstices de l'armure de ton adversaire. C'est pour cela que tu ne trouveras pas de masses avec des degats d'estoc, mais que tu trouveras parfois des haches qui en font. Les épée en font plus et de maniére "basique" les javelots, lance arc etc etc en font beaucoup de base car c'est leur fonction premiére passer les failles de l'armure pour toucher directement là ou ca fait mal.
Meme si dans les faits pour les épées cela dépendait. Les "grosses" épées à deux mains n'étaient pas faites pour faire des degats d'estoc, car trop difficile à manier et imprécises. Mais leur poid et leur "finesse" permettait d'avoir une force d'impact énorme concentré sur une petite surface qui avait pour effet de défoncer l'armure voir de la déchirer pour que ce soit l'armure qui blesse le porteur en venant labourer les chairs de celui qui subit le coup.