Voilà le principe est simple. Je commence l'histoire et vous la continuer. Voici les règles.
- Rester sérieux l'humour est permis mais pas le délire totale.
- Rester dans le domaine de l'héroic fantasy
- L'histoire se déroule dans un monde imaginaire pas Sacred. Le monde se définira au cours de l'histoire.
- On ne tue pas le personnage principale du moins pas tout de suite!
- Faire une suite logique au événements
- Accepter de changer sont texte a la demande des autres participant si tout le monde trouvent que sa ne colle pas au reste de l'histoire.
- Dois je préciser? Pas de language SMS nis abréviations.
Qand l'histoire sera considéré comme terminer je la mettrai sur mon site web en citant les noms de tout ceux qui auront participer.
Voilà s'est tout si il me vient autres chose je ferai un édit. Bon je commence.
Thuvia l'amazone avait enfin terminer sont long voyage. Il était temps car sont cheval était épuisé. Elle en descendit et marcha dans la neige en refermant sa cape de fourure autour de sont corps svelte mais athlétique.
"Cette hiver aurait t'il une fin?" ce demandait t'elle. Elle atteint enfin sont but l'immense tour tordu se dressait devant elle. Ses créneaux semblait toucher les cieux. Thuvia dégaina sont arme et frappa à la porte de sa main ganté.
A vous d'écrire la suite!
Histoire à multiples auteurs
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Histoire à multiples auteurs
par Malygris » Dim Juin 20, 2004 10:56 pm
Dernière édition par Malygris le Lun Juin 21, 2004 12:49 am, édité 4 fois.
Milles morts ne m'empêcheront pas de protéger les beautées de ce monde des forces du mal.
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par RickooN » Dim Juin 20, 2004 11:06 pm
petite question sur les règles avant de commencer :
peut-on partir dans un délire style c est Blanche-Neige qui ouvrira la porte, ou doit - on faire vachement sérieux et rester dans l univers de Sacred ? à moins que ce ne soit un mélange des deux ?
je poste ici au lieu de te MP car je pense que ta réponse pourra être utile à tous pour la suite de l histoire
Rick
édit : merci pour ta réponse
je commence donc
Thuvia l'amazone avait enfin terminé son long voyage. Il était temps car son cheval était épuisé. Elle en descendit et marcha dans la neige en refermant sa cape de fourrure autour de son corps svelte mais athlétique.
"Cette hiver aurait t-il une fin ?" ce demandait t-elle. Elle atteint enfin son but : l'immense tour tordue se dressait devant elle. Ses créneaux semblaient toucher les cieux. Thuvia dégaina son arme et frappa à la porte de sa main gantée.
...
Un long silence s'ensuivit. Apparemment, personne ne semblait habiter cette tour malgrès les rumeurs que Thuvia avait entendu tout au long du trajet auprès des villageois habitant aux abords de la route.
Où était donc cet être mystérieux qu'il fallait mieux éviter selon les légendes de la région ? Et qu'en était-il de ses sbires qui vagabonderaient dans les abords de cette tour ?
Prise par ses pensées, Thuvia baissa sa garde un court instant. C'est à ce moment précis qu'elle entendit un grattement de l'autre côté de la porte noire et sombre !
Rassemblant ses esprits et prête à combattre, elle attendit de pied ferme, l'épée prête à fendre l'air et à trancher la chair...
Mais Thuvia ne vit pas la forme arriver derrière elle ...
Voilà pour ma participation : j ai bien une idée pour la suite mais je ne la donnerai pas
c est à votre tour
Rick
peut-on partir dans un délire style c est Blanche-Neige qui ouvrira la porte, ou doit - on faire vachement sérieux et rester dans l univers de Sacred ? à moins que ce ne soit un mélange des deux ?
je poste ici au lieu de te MP car je pense que ta réponse pourra être utile à tous pour la suite de l histoire
Rick
édit : merci pour ta réponse
je commence donc
Thuvia l'amazone avait enfin terminé son long voyage. Il était temps car son cheval était épuisé. Elle en descendit et marcha dans la neige en refermant sa cape de fourrure autour de son corps svelte mais athlétique.
"Cette hiver aurait t-il une fin ?" ce demandait t-elle. Elle atteint enfin son but : l'immense tour tordue se dressait devant elle. Ses créneaux semblaient toucher les cieux. Thuvia dégaina son arme et frappa à la porte de sa main gantée.
...
Un long silence s'ensuivit. Apparemment, personne ne semblait habiter cette tour malgrès les rumeurs que Thuvia avait entendu tout au long du trajet auprès des villageois habitant aux abords de la route.
Où était donc cet être mystérieux qu'il fallait mieux éviter selon les légendes de la région ? Et qu'en était-il de ses sbires qui vagabonderaient dans les abords de cette tour ?
Prise par ses pensées, Thuvia baissa sa garde un court instant. C'est à ce moment précis qu'elle entendit un grattement de l'autre côté de la porte noire et sombre !
Rassemblant ses esprits et prête à combattre, elle attendit de pied ferme, l'épée prête à fendre l'air et à trancher la chair...
Mais Thuvia ne vit pas la forme arriver derrière elle ...
Voilà pour ma participation : j ai bien une idée pour la suite mais je ne la donnerai pas
c est à votre tour
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Vous voulez sauver un arbre ? Mangez un castor :ack:
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par Caribou77 » Lun Juin 21, 2004 10:37 am
Bon je vais essayer d'apporter quelquechose, mais je ne garantis pas le talent littéraire et c'est ni echangé ni remboursé 
P.s : je n'ai jamais été bon pour inventer des noms aux personnages, lieux etc... alors si vous voulez changer les noms propres surtout n'hésitez pas...
Thuvia l'amazone avait enfin terminé son long voyage. Il était temps car son cheval était épuisé. Elle en descendit et marcha dans la neige en refermant sa cape de fourrure autour de son corps svelte mais athlétique.
"Cette hiver aurait t-il une fin ?" ce demandait t-elle. Elle atteint enfin son but : l'immense tour tordue se dressait devant elle. Ses créneaux semblaient toucher les cieux. Thuvia dégaina son arme et frappa à la porte de sa main gantée.
...
Un long silence s'ensuivit. Apparemment, personne ne semblait habiter cette tour malgrès les rumeurs que Thuvia avait entendu tout au long du trajet auprès des villageois habitant aux abords de la route.
Où était donc cet être mystérieux qu'il fallait mieux éviter selon les légendes de la région ? Et qu'en était-il de ses sbires qui vagabonderaient dans les abords de cette tour ?
Prise par ses pensées, Thuvia baissa sa garde un court instant. C'est à ce moment précis qu'elle entendit un grattement de l'autre côté de la porte noire et sombre !
Rassemblant ses esprits et prête à combattre, elle attendit de pied ferme, l'épée prête à fendre l'air et à trancher la chair...
Mais Thuvia ne vit pas la forme arriver derrière elle ...
...
- "Eh bien Thuvia ? On a essayé de me semer ? Tu n'as tout de même pas cru qu'un rôdeur tel que moi pourrait se laisser abuser par tes simples tours de passe passe ?"
- "A vrai dire je me demandais même pourquoi tu ne m'avais pas rejoint plus tôt. Mais celà n'a aucune importance de toutes façons. Je t'avais demandé de ne pas me suivre Gelorn."
- "Allons ne fais pas la fière Thuvia tu sais bien que NOM D'UN DRUIDE UNIJAMBISTE, DERRIERE TOI !"
Vive comme l'eclair, l'épée déjà tirée, Thuvia embrocha l'orc malodorant qui s'était glissé derrière eux pendant qu'il discutaient.
-"Ah là là"
dit Gelorn.
"Qu'ils sont malpolis, on ne peut même plus se disputer tranquillement. En tout cas ils font des efforts pour être discrets maintenant, on croirait presque qu'ils reflechissent..."
-"Retourne d'où tu viens Gelorn, je n'ai pas besoin de toi pour cette quête ci."
Thuvia tourna alors les talons pour mettre fin à la conversation. et se retrouva devant la porte de la tour grande ouverte. Elle se rappela alors du grattement qu'elle avait entendu auparavant, et tout en se demandant si c'était cet orc qui en était à l'origine, elle décida d'entrer dans le hall de la tour, non sans allumer une torche...
P.s : je n'ai jamais été bon pour inventer des noms aux personnages, lieux etc... alors si vous voulez changer les noms propres surtout n'hésitez pas...
Thuvia l'amazone avait enfin terminé son long voyage. Il était temps car son cheval était épuisé. Elle en descendit et marcha dans la neige en refermant sa cape de fourrure autour de son corps svelte mais athlétique.
"Cette hiver aurait t-il une fin ?" ce demandait t-elle. Elle atteint enfin son but : l'immense tour tordue se dressait devant elle. Ses créneaux semblaient toucher les cieux. Thuvia dégaina son arme et frappa à la porte de sa main gantée.
...
Un long silence s'ensuivit. Apparemment, personne ne semblait habiter cette tour malgrès les rumeurs que Thuvia avait entendu tout au long du trajet auprès des villageois habitant aux abords de la route.
Où était donc cet être mystérieux qu'il fallait mieux éviter selon les légendes de la région ? Et qu'en était-il de ses sbires qui vagabonderaient dans les abords de cette tour ?
Prise par ses pensées, Thuvia baissa sa garde un court instant. C'est à ce moment précis qu'elle entendit un grattement de l'autre côté de la porte noire et sombre !
Rassemblant ses esprits et prête à combattre, elle attendit de pied ferme, l'épée prête à fendre l'air et à trancher la chair...
Mais Thuvia ne vit pas la forme arriver derrière elle ...
...
- "Eh bien Thuvia ? On a essayé de me semer ? Tu n'as tout de même pas cru qu'un rôdeur tel que moi pourrait se laisser abuser par tes simples tours de passe passe ?"
- "A vrai dire je me demandais même pourquoi tu ne m'avais pas rejoint plus tôt. Mais celà n'a aucune importance de toutes façons. Je t'avais demandé de ne pas me suivre Gelorn."
- "Allons ne fais pas la fière Thuvia tu sais bien que NOM D'UN DRUIDE UNIJAMBISTE, DERRIERE TOI !"
Vive comme l'eclair, l'épée déjà tirée, Thuvia embrocha l'orc malodorant qui s'était glissé derrière eux pendant qu'il discutaient.
-"Ah là là"
dit Gelorn.
"Qu'ils sont malpolis, on ne peut même plus se disputer tranquillement. En tout cas ils font des efforts pour être discrets maintenant, on croirait presque qu'ils reflechissent..."
-"Retourne d'où tu viens Gelorn, je n'ai pas besoin de toi pour cette quête ci."
Thuvia tourna alors les talons pour mettre fin à la conversation. et se retrouva devant la porte de la tour grande ouverte. Elle se rappela alors du grattement qu'elle avait entendu auparavant, et tout en se demandant si c'était cet orc qui en était à l'origine, elle décida d'entrer dans le hall de la tour, non sans allumer une torche...
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par CaMarchePas » Lun Juin 21, 2004 11:15 am
Thuvia l'amazone avait enfin terminé son long voyage. Il était temps car son cheval était épuisé. Elle en descendit et marcha dans la neige en refermant sa cape de fourrure autour de son corps svelte mais athlétique.
"Cette hiver aurait t-il une fin ?" ce demandait t-elle. Elle atteint enfin son but : l'immense tour tordue se dressait devant elle. Ses créneaux semblaient toucher les cieux. Thuvia dégaina son arme et frappa à la porte de sa main gantée.
...
Un long silence s'ensuivit. Apparemment, personne ne semblait habiter cette tour malgrès les rumeurs que Thuvia avait entendu tout au long du trajet auprès des villageois habitant aux abords de la route.
Où était donc cet être mystérieux qu'il fallait mieux éviter selon les légendes de la région ? Et qu'en était-il de ses sbires qui vagabonderaient dans les abords de cette tour ?
Prise par ses pensées, Thuvia baissa sa garde un court instant. C'est à ce moment précis qu'elle entendit un grattement de l'autre côté de la porte noire et sombre !
Rassemblant ses esprits et prête à combattre, elle attendit de pied ferme, l'épée prête à fendre l'air et à trancher la chair...
Mais Thuvia ne vit pas la forme arriver derrière elle ...
...
- "Eh bien Thuvia ? On a essayé de me semer ? Tu n'as tout de même pas cru qu'un rôdeur tel que moi pourrait se laisser abuser par tes simples tours de passe passe ?"
- "A vrai dire je me demandais même pourquoi tu ne m'avais pas rejoint plus tôt. Mais celà n'a aucune importance de toutes façons. Je t'avais demandé de ne pas me suivre Gelorn."
- "Allons ne fais pas la fière Thuvia tu sais bien que NOM D'UN DRUIDE UNIJAMBISTE, DERRIERE TOI !"
Vive comme l'eclair, l'épée déjà tirée, Thuvia embrocha l'orc malodorant qui s'était glissé derrière eux pendant qu'il discutaient.
-"Ah là là"
dit Gelorn.
"Qu'ils sont malpolis, on ne peut même plus se disputer tranquillement. En tout cas ils font des efforts pour être discrets maintenant, on croirait presque qu'ils reflechissent..."
-"Retourne d'où tu viens Gelorn, je n'ai pas besoin de toi pour cette quête ci."
Thuvia tourna alors les talons pour mettre fin à la conversation. et se retrouva devant la porte de la tour grande ouverte. Elle se rappela alors du grattement qu'elle avait entendu auparavant, et tout en se demandant si c'était cet orc qui en était à l'origine, elle décida d'entrer dans le hall de la tour, non sans allumer une torche...
...
Thuiva s'avance prudemment dans la tour...
"Est ce qu'il y'a quelqu'un ?"
Seul l'echo lui répondit dans le lointain...
Bien qu'aucune autre ouverture que la porte ne donne sur cette pièce, la seule lumière de la torche suffit à distinguer les murs du hall totalement vide.
De chaque côté de la pièce, de grands escaliers longent les murs de la tour ronde et se rejoignent devant ce qui semble être un palier avant les nombreuses marches qui mènenet au sommet de la tour.
Thuvia décide de monter puisqu'apparemment il n'y a rien au bas de la tour.
Elle gravit des dizaines puis des centaines de marches...
"Ces escaliers ne mènent-ils nulle part ? Cette tour est-elle sans fin ?" se demande-t-elle.
Un cri s'élève depuis le bas de la tour, il semble provenir des profondeurs de la terre tellement la tour est haute.
"Gelorn c'est toi ? Gelorn répond ! "
seul l'écho répondit à Thuvia.
"Cette hiver aurait t-il une fin ?" ce demandait t-elle. Elle atteint enfin son but : l'immense tour tordue se dressait devant elle. Ses créneaux semblaient toucher les cieux. Thuvia dégaina son arme et frappa à la porte de sa main gantée.
...
Un long silence s'ensuivit. Apparemment, personne ne semblait habiter cette tour malgrès les rumeurs que Thuvia avait entendu tout au long du trajet auprès des villageois habitant aux abords de la route.
Où était donc cet être mystérieux qu'il fallait mieux éviter selon les légendes de la région ? Et qu'en était-il de ses sbires qui vagabonderaient dans les abords de cette tour ?
Prise par ses pensées, Thuvia baissa sa garde un court instant. C'est à ce moment précis qu'elle entendit un grattement de l'autre côté de la porte noire et sombre !
Rassemblant ses esprits et prête à combattre, elle attendit de pied ferme, l'épée prête à fendre l'air et à trancher la chair...
Mais Thuvia ne vit pas la forme arriver derrière elle ...
...
- "Eh bien Thuvia ? On a essayé de me semer ? Tu n'as tout de même pas cru qu'un rôdeur tel que moi pourrait se laisser abuser par tes simples tours de passe passe ?"
- "A vrai dire je me demandais même pourquoi tu ne m'avais pas rejoint plus tôt. Mais celà n'a aucune importance de toutes façons. Je t'avais demandé de ne pas me suivre Gelorn."
- "Allons ne fais pas la fière Thuvia tu sais bien que NOM D'UN DRUIDE UNIJAMBISTE, DERRIERE TOI !"
Vive comme l'eclair, l'épée déjà tirée, Thuvia embrocha l'orc malodorant qui s'était glissé derrière eux pendant qu'il discutaient.
-"Ah là là"
dit Gelorn.
"Qu'ils sont malpolis, on ne peut même plus se disputer tranquillement. En tout cas ils font des efforts pour être discrets maintenant, on croirait presque qu'ils reflechissent..."
-"Retourne d'où tu viens Gelorn, je n'ai pas besoin de toi pour cette quête ci."
Thuvia tourna alors les talons pour mettre fin à la conversation. et se retrouva devant la porte de la tour grande ouverte. Elle se rappela alors du grattement qu'elle avait entendu auparavant, et tout en se demandant si c'était cet orc qui en était à l'origine, elle décida d'entrer dans le hall de la tour, non sans allumer une torche...
...
Thuiva s'avance prudemment dans la tour...
"Est ce qu'il y'a quelqu'un ?"
Seul l'echo lui répondit dans le lointain...
Bien qu'aucune autre ouverture que la porte ne donne sur cette pièce, la seule lumière de la torche suffit à distinguer les murs du hall totalement vide.
De chaque côté de la pièce, de grands escaliers longent les murs de la tour ronde et se rejoignent devant ce qui semble être un palier avant les nombreuses marches qui mènenet au sommet de la tour.
Thuvia décide de monter puisqu'apparemment il n'y a rien au bas de la tour.
Elle gravit des dizaines puis des centaines de marches...
"Ces escaliers ne mènent-ils nulle part ? Cette tour est-elle sans fin ?" se demande-t-elle.
Un cri s'élève depuis le bas de la tour, il semble provenir des profondeurs de la terre tellement la tour est haute.
"Gelorn c'est toi ? Gelorn répond ! "
seul l'écho répondit à Thuvia.
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par Noirsaphran » Lun Juin 21, 2004 7:50 pm
Thuvia l'amazone avait enfin terminé son long voyage. Il était temps car son cheval était épuisé. Elle en descendit et marcha dans la neige en refermant sa cape de fourrure autour de son corps svelte mais athlétique.
"Cette hiver aurait t-il une fin ?" ce demandait t-elle. Elle atteint enfin son but : l'immense tour tordue se dressait devant elle. Ses créneaux semblaient toucher les cieux. Thuvia dégaina son arme et frappa à la porte de sa main gantée.
...
Un long silence s'ensuivit. Apparemment, personne ne semblait habiter cette tour malgrès les rumeurs que Thuvia avait entendu tout au long du trajet auprès des villageois habitant aux abords de la route.
Où était donc cet être mystérieux qu'il fallait mieux éviter selon les légendes de la région ? Et qu'en était-il de ses sbires qui vagabonderaient dans les abords de cette tour ?
Prise par ses pensées, Thuvia baissa sa garde un court instant. C'est à ce moment précis qu'elle entendit un grattement de l'autre côté de la porte noire et sombre !
Rassemblant ses esprits et prête à combattre, elle attendit de pied ferme, l'épée prête à fendre l'air et à trancher la chair...
Mais Thuvia ne vit pas la forme arriver derrière elle ...
...
- "Eh bien Thuvia ? On a essayé de me semer ? Tu n'as tout de même pas cru qu'un rôdeur tel que moi pourrait se laisser abuser par tes simples tours de passe passe ?"
- "A vrai dire je me demandais même pourquoi tu ne m'avais pas rejoint plus tôt. Mais celà n'a aucune importance de toutes façons. Je t'avais demandé de ne pas me suivre Gelorn."
- "Allons ne fais pas la fière Thuvia tu sais bien que NOM D'UN DRUIDE UNIJAMBISTE, DERRIERE TOI !"
Vive comme l'eclair, l'épée déjà tirée, Thuvia embrocha l'orc malodorant qui s'était glissé derrière eux pendant qu'il discutaient.
-"Ah là là"
dit Gelorn.
"Qu'ils sont malpolis, on ne peut même plus se disputer tranquillement. En tout cas ils font des efforts pour être discrets maintenant, on croirait presque qu'ils reflechissent..."
-"Retourne d'où tu viens Gelorn, je n'ai pas besoin de toi pour cette quête ci."
Thuvia tourna alors les talons pour mettre fin à la conversation. et se retrouva devant la porte de la tour grande ouverte. Elle se rappela alors du grattement qu'elle avait entendu auparavant, et tout en se demandant si c'était cet orc qui en était à l'origine, elle décida d'entrer dans le hall de la tour, non sans allumer une torche...
...
Thuiva s'avance prudemment dans la tour...
"Est ce qu'il y'a quelqu'un ?"
Seul l'echo lui répondit dans le lointain...
Bien qu'aucune autre ouverture que la porte ne donne sur cette pièce, la seule lumière de la torche suffit à distinguer les murs du hall totalement vide.
De chaque côté de la pièce, de grands escaliers longent les murs de la tour ronde et se rejoignent devant ce qui semble être un palier avant les nombreuses marches qui mènenet au sommet de la tour.
Thuvia décide de monter puisqu'apparemment il n'y a rien au bas de la tour.
Elle gravit des dizaines puis des centaines de marches...
"Ces escaliers ne mènent-ils nulle part ? Cette tour est-elle sans fin ?" se demande-t-elle.
Un cri s'élève depuis le bas de la tour, il semble provenir des profondeurs de la terre tellement la tour est haute.
"Gelorn c'est toi ? Gelorn répond ! "
seul l'écho répondit à Thuvia.
...
Le hurlement devint assourdissant. Une plainte était si grave que la flamme des torches oscillaient. Un cri inhumain , le dernier, retentit. Un silence de mort s'installa.
"Gerlorn? GERLORN!!!"
"C'était quoi cette chose?" La voix du rôdeur, qui d'habitude lui faisant tant horreur, la rassura.
"Je...Je ne sais pas..."
Un vacarne se fit entendre. Une chose ronde dégringola des escaliers. L'horreur se dessina sur les traits de Gerlorn. La chose était une tête tranchée. Un râle s'echappa du haut de la tour et une autre chose tomba des escaliers. Le corps d'une jeune vierge décapitée était la, devant leurs yeux. Rapidement elle dormit dans son propre sang...
Soudainement, un coup assoma le couple d'héros. L'ombre d'un inconnu les avaient lachement attaqués.
Lorsqu'ils s'éveillèrent se fut dans une salle de torture, en haut de la tour. C'étaient les mains attachés par une corde qu'ils se tenaient prisoniers dans cette geole. L'odeur du sang emplissait leur narine, leur donnant la nausée.
"Gerlorn, réveile toi!"
il était toujours endormit. Leurs armes avaient été prise. Une question sans réponse, harcelait Thuvi: Que faire, OU plutôt qu'est ce que les geoliers allaient-ils faire...
"Cette hiver aurait t-il une fin ?" ce demandait t-elle. Elle atteint enfin son but : l'immense tour tordue se dressait devant elle. Ses créneaux semblaient toucher les cieux. Thuvia dégaina son arme et frappa à la porte de sa main gantée.
...
Un long silence s'ensuivit. Apparemment, personne ne semblait habiter cette tour malgrès les rumeurs que Thuvia avait entendu tout au long du trajet auprès des villageois habitant aux abords de la route.
Où était donc cet être mystérieux qu'il fallait mieux éviter selon les légendes de la région ? Et qu'en était-il de ses sbires qui vagabonderaient dans les abords de cette tour ?
Prise par ses pensées, Thuvia baissa sa garde un court instant. C'est à ce moment précis qu'elle entendit un grattement de l'autre côté de la porte noire et sombre !
Rassemblant ses esprits et prête à combattre, elle attendit de pied ferme, l'épée prête à fendre l'air et à trancher la chair...
Mais Thuvia ne vit pas la forme arriver derrière elle ...
...
- "Eh bien Thuvia ? On a essayé de me semer ? Tu n'as tout de même pas cru qu'un rôdeur tel que moi pourrait se laisser abuser par tes simples tours de passe passe ?"
- "A vrai dire je me demandais même pourquoi tu ne m'avais pas rejoint plus tôt. Mais celà n'a aucune importance de toutes façons. Je t'avais demandé de ne pas me suivre Gelorn."
- "Allons ne fais pas la fière Thuvia tu sais bien que NOM D'UN DRUIDE UNIJAMBISTE, DERRIERE TOI !"
Vive comme l'eclair, l'épée déjà tirée, Thuvia embrocha l'orc malodorant qui s'était glissé derrière eux pendant qu'il discutaient.
-"Ah là là"
dit Gelorn.
"Qu'ils sont malpolis, on ne peut même plus se disputer tranquillement. En tout cas ils font des efforts pour être discrets maintenant, on croirait presque qu'ils reflechissent..."
-"Retourne d'où tu viens Gelorn, je n'ai pas besoin de toi pour cette quête ci."
Thuvia tourna alors les talons pour mettre fin à la conversation. et se retrouva devant la porte de la tour grande ouverte. Elle se rappela alors du grattement qu'elle avait entendu auparavant, et tout en se demandant si c'était cet orc qui en était à l'origine, elle décida d'entrer dans le hall de la tour, non sans allumer une torche...
...
Thuiva s'avance prudemment dans la tour...
"Est ce qu'il y'a quelqu'un ?"
Seul l'echo lui répondit dans le lointain...
Bien qu'aucune autre ouverture que la porte ne donne sur cette pièce, la seule lumière de la torche suffit à distinguer les murs du hall totalement vide.
De chaque côté de la pièce, de grands escaliers longent les murs de la tour ronde et se rejoignent devant ce qui semble être un palier avant les nombreuses marches qui mènenet au sommet de la tour.
Thuvia décide de monter puisqu'apparemment il n'y a rien au bas de la tour.
Elle gravit des dizaines puis des centaines de marches...
"Ces escaliers ne mènent-ils nulle part ? Cette tour est-elle sans fin ?" se demande-t-elle.
Un cri s'élève depuis le bas de la tour, il semble provenir des profondeurs de la terre tellement la tour est haute.
"Gelorn c'est toi ? Gelorn répond ! "
seul l'écho répondit à Thuvia.
...
Le hurlement devint assourdissant. Une plainte était si grave que la flamme des torches oscillaient. Un cri inhumain , le dernier, retentit. Un silence de mort s'installa.
"Gerlorn? GERLORN!!!"
"C'était quoi cette chose?" La voix du rôdeur, qui d'habitude lui faisant tant horreur, la rassura.
"Je...Je ne sais pas..."
Un vacarne se fit entendre. Une chose ronde dégringola des escaliers. L'horreur se dessina sur les traits de Gerlorn. La chose était une tête tranchée. Un râle s'echappa du haut de la tour et une autre chose tomba des escaliers. Le corps d'une jeune vierge décapitée était la, devant leurs yeux. Rapidement elle dormit dans son propre sang...
Soudainement, un coup assoma le couple d'héros. L'ombre d'un inconnu les avaient lachement attaqués.
Lorsqu'ils s'éveillèrent se fut dans une salle de torture, en haut de la tour. C'étaient les mains attachés par une corde qu'ils se tenaient prisoniers dans cette geole. L'odeur du sang emplissait leur narine, leur donnant la nausée.
"Gerlorn, réveile toi!"
il était toujours endormit. Leurs armes avaient été prise. Une question sans réponse, harcelait Thuvi: Que faire, OU plutôt qu'est ce que les geoliers allaient-ils faire...
Noir comme la nuit, vif comme l'éclair, mes pas sont les feux de l'enfer.
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par Pingouin givré » Lun Juin 21, 2004 9:40 pm
[Hors texte] Voyant que le texte s'allonge, je met directement ma contribution pour plus de lisibilité. Car se retaper tous les textes répétés pour arriver ENFIN à la nouvelle scène, c'est pas terrible. A la fin, Malygris n'aura plus qu'à les mettre bout à bout. : c'est beaucoup plus simple ! J'invite donc les prochains auteurs à faire de même.. Sur ce, Bonne Lecture et Soyez inspirés 
[/Hors texte]
...
A cette simple pensée, des bruits de pas se font entendre. Le crissement de chaînes raclant le sol et des cris étouffés évoquent l’épuisement et l’état pitoyable d’un supplicié. Ce n’est que quelques instants plus tard que Thuvia voit entrer 2 orcs bien équipés, traînant un jeune homme marqué par de multiples coups de fouets. Ses vêtements ont d’ailleurs été déchiquetés par la violence des coups de ses bourreaux .
- Grumph ! Awargh do Maretash ! dit l’orc sur la droite de son air le plus mauvais.
Le nouveau pensionnaire de cette salle de torture est alors jeté violemment sur le sol, incapable vraisemblablement de se relever.
Il ne reste guère grand chose de son pourpoint de velours rouge se dit l’amazone. Sûrement un de ces nobles des environs qui a disparu cette semaine. Mais… Que lui ont-ils fait ?
A peine a-t-elle le temps de remettre ses idées en place qu’elle sent une émanation maléfique au coin du sombre cachot..
Mais, tu vas bouger sale bête, Pense Thuvia un brin énervée. Je n’arrive pas à voir ton joli minois de là où je suis… Elle se démène alors avec les cordes pour élargir sa ligne de vue, mais sans grand succès.
Et l’ombre ne se déplace pas pour autant au grand déplaisir de Thuvia.
- Comme c’est dommage … dit une jeune voix féminine et doucereuse à souhait. Je croyais le fils du Baron de Meros beaucoup plus robuste. Encore une nuit et tu m’appartiendras… corps et âmes. Et moi… Je serais enfin LIBRE.
Tu m'aimes Roland, mon amour... N'est-ce pas ?
Sa voix est si glaciale et sinistre, que la pièce semble refroidir à ces quelques mots.
De son côté, le jeune homme parvient finalement à se redresser, et c’est dans un dernier sursaut de volonté qu’il ose répondre :
- Jamais …non.... Je te tuerais plutôt ! Jamais je ne t’appartiendrais Sénesta! crache t-il avec mépris.
[/Hors texte]
...
A cette simple pensée, des bruits de pas se font entendre. Le crissement de chaînes raclant le sol et des cris étouffés évoquent l’épuisement et l’état pitoyable d’un supplicié. Ce n’est que quelques instants plus tard que Thuvia voit entrer 2 orcs bien équipés, traînant un jeune homme marqué par de multiples coups de fouets. Ses vêtements ont d’ailleurs été déchiquetés par la violence des coups de ses bourreaux .
- Grumph ! Awargh do Maretash ! dit l’orc sur la droite de son air le plus mauvais.
Le nouveau pensionnaire de cette salle de torture est alors jeté violemment sur le sol, incapable vraisemblablement de se relever.
Il ne reste guère grand chose de son pourpoint de velours rouge se dit l’amazone. Sûrement un de ces nobles des environs qui a disparu cette semaine. Mais… Que lui ont-ils fait ?
A peine a-t-elle le temps de remettre ses idées en place qu’elle sent une émanation maléfique au coin du sombre cachot..
Mais, tu vas bouger sale bête, Pense Thuvia un brin énervée. Je n’arrive pas à voir ton joli minois de là où je suis… Elle se démène alors avec les cordes pour élargir sa ligne de vue, mais sans grand succès.
Et l’ombre ne se déplace pas pour autant au grand déplaisir de Thuvia.
- Comme c’est dommage … dit une jeune voix féminine et doucereuse à souhait. Je croyais le fils du Baron de Meros beaucoup plus robuste. Encore une nuit et tu m’appartiendras… corps et âmes. Et moi… Je serais enfin LIBRE.
Tu m'aimes Roland, mon amour... N'est-ce pas ?
Sa voix est si glaciale et sinistre, que la pièce semble refroidir à ces quelques mots.
De son côté, le jeune homme parvient finalement à se redresser, et c’est dans un dernier sursaut de volonté qu’il ose répondre :
- Jamais …non.... Je te tuerais plutôt ! Jamais je ne t’appartiendrais Sénesta! crache t-il avec mépris.
Dernière édition par Pingouin givré le Lun Juin 21, 2004 11:44 pm, édité 1 fois.
- Nous sommes tous blasés, nous autres les héros. C'est un critère de sélection. Nous combattons un ou deux monstres tous les matins, avant le petit déjeuner. Ca nous ouvre l'appétit. [Garion MAL CV p42]
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par Malygris » Mar Juin 22, 2004 4:11 am
- Tu ne peut pas tuer ce qui est déjas mort pauvre fou pathétique! Mais bientôt je revivrai dans ton corps! Ha! Ha! Ha!
Hurla la voix sinistre juste avant d'éclater d'un rire inhumain. L'homme au dos en lambeaux hurla de désespoir.
Thuvia frappa le rodeur avec sa jambe elle savait qu'il avait toujours un truc ou deux sur lui pour crocheter les serrures et elle le soupçonnait d'avoir déjas été voleur dans le passé bien qu'il le niais.
Il demera inconscient malgré tout les effort de Thuvia. Elle se demanda si il n'était pas plus blessé qu'elle. Devait t'elle en être heureuse ou triste? Bonne question étant donner leurs passés communs.
- Allez soit un homme et réagi!
Cria Thuvia.
- Je ne peut pas je je... Elle est trop forte! À quoi bon réssister plus longtemps. Toutes ces tortures on afaiblis mon corps et mon âme. Je vous en supplie tuez moi sinon elle vas me... Haaaa!!!
Répondit le martyr juste avant de ce mettre à hurler. Thuvia le regardait mystifié elle ne s'était pas adressé à lui mais au rodeur. Cependant elle ne restait pas indifférente à sa douleur.
- Je t'aiderai je t'en donne ma parole. Si jamais je sors d'ici vivante.
Un orc entra dans la pièce. Il était sale et laid! Même pour un orc. Pratiquement difforme. Il donna un coup au rodeur qui ne réagit pas! Il s'approcha de Thuvia. Elle détourna le visage dégouté!
Elle ne put s'empêcher de laisser échapper un petit cri de terreur quand il mis une de ses mains caleuse sur sa cuisse. L'orc en fut amuser et fit un rictus cruel. Mais sont sourire disparut quand Thuvia lui cracha au visage.
Il leva sont bras prêt à la frapper au visage. Mais une voix se fit entendre.
- Ne la touche pas! Chien. J'ai de plus grand projet pour elle.
Le fils du baron s'était relever toute souffrance avait disparus de sont visage et sont dos en sang ne semblait plus le déranger. Sont regard brillait d'une lueur violet. Et sont beau visage esquissait un sourire cruel.
Par instinct l'orc sut que sa maitresse était maintenant de retour à part entière. Elle avait de nouveau un corps! Et il valait mieux lui obéir. Servilement il s'agenouilla.
Thuvia était vraiment confuse. Elle était sur que dans cette tour vivait l'oracle des âges infinis. L'aurait t'on mal renseigner? Et si cette homme ou la chose qui le possédait était l'oracle? Impossible se disait t'elle. Cependant elle devait lui poser la question.
- Seigneur je suis venu en paix voir l'oracle des âges infinis. Je dois lui demander ce qui arrive au monde. Est-ce la fin des temps? La fin du monde comme le crois les prêtres? Êtes vous l'oracle?
Demanda Thuvia ne sachant si elle devait être furieuse ou désespéré. L'homme la regarda et éclata de rire.
Hurla la voix sinistre juste avant d'éclater d'un rire inhumain. L'homme au dos en lambeaux hurla de désespoir.
Thuvia frappa le rodeur avec sa jambe elle savait qu'il avait toujours un truc ou deux sur lui pour crocheter les serrures et elle le soupçonnait d'avoir déjas été voleur dans le passé bien qu'il le niais.
Il demera inconscient malgré tout les effort de Thuvia. Elle se demanda si il n'était pas plus blessé qu'elle. Devait t'elle en être heureuse ou triste? Bonne question étant donner leurs passés communs.
- Allez soit un homme et réagi!
Cria Thuvia.
- Je ne peut pas je je... Elle est trop forte! À quoi bon réssister plus longtemps. Toutes ces tortures on afaiblis mon corps et mon âme. Je vous en supplie tuez moi sinon elle vas me... Haaaa!!!
Répondit le martyr juste avant de ce mettre à hurler. Thuvia le regardait mystifié elle ne s'était pas adressé à lui mais au rodeur. Cependant elle ne restait pas indifférente à sa douleur.
- Je t'aiderai je t'en donne ma parole. Si jamais je sors d'ici vivante.
Un orc entra dans la pièce. Il était sale et laid! Même pour un orc. Pratiquement difforme. Il donna un coup au rodeur qui ne réagit pas! Il s'approcha de Thuvia. Elle détourna le visage dégouté!
Elle ne put s'empêcher de laisser échapper un petit cri de terreur quand il mis une de ses mains caleuse sur sa cuisse. L'orc en fut amuser et fit un rictus cruel. Mais sont sourire disparut quand Thuvia lui cracha au visage.
Il leva sont bras prêt à la frapper au visage. Mais une voix se fit entendre.
- Ne la touche pas! Chien. J'ai de plus grand projet pour elle.
Le fils du baron s'était relever toute souffrance avait disparus de sont visage et sont dos en sang ne semblait plus le déranger. Sont regard brillait d'une lueur violet. Et sont beau visage esquissait un sourire cruel.
Par instinct l'orc sut que sa maitresse était maintenant de retour à part entière. Elle avait de nouveau un corps! Et il valait mieux lui obéir. Servilement il s'agenouilla.
Thuvia était vraiment confuse. Elle était sur que dans cette tour vivait l'oracle des âges infinis. L'aurait t'on mal renseigner? Et si cette homme ou la chose qui le possédait était l'oracle? Impossible se disait t'elle. Cependant elle devait lui poser la question.
- Seigneur je suis venu en paix voir l'oracle des âges infinis. Je dois lui demander ce qui arrive au monde. Est-ce la fin des temps? La fin du monde comme le crois les prêtres? Êtes vous l'oracle?
Demanda Thuvia ne sachant si elle devait être furieuse ou désespéré. L'homme la regarda et éclata de rire.
Milles morts ne m'empêcheront pas de protéger les beautées de ce monde des forces du mal.
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par CaMarchePas » Mar Juin 22, 2004 8:11 am
-je suis l'oracle mais l'oracle n'est plus, il est éternel mais je suis toute puissante !
Maintenant que j'ai réintégré un corps, je peux reprendre des forces, regarde pauvre mortel !
La créature se concentra, elle commença à emettre un bruit sourd et profond, ce cri s'amplifiait en même temps que la lueur maléfique au fond de ses yeux
Thuvia n'en croyait pas ses yeux, les blessures de la créature se refermait d'elle mêmes, son "corps" reprenait des couleurs, on sentait le sang palpiter dans les veines et les muscles se durcir.
Thuvia ne comprenait pas ce qu'il se passait au début, le visage de la créature changeait en plus de son corps, il devenait plus beau, plus clair, d'une malveillante beauté.
"Contemple ta nouvelle maitresse, guerrière, contemple Mionak-Toden, la serviteuse du temps, la maitresse du temps !
Bientôt ton esprit sera faible et ton corps pourra acceuillir l'âme de ma soeur, Kellak-Toden, la serviteuse de la Mort, elle aura besoin d'un corps beau, jeune et fort pour accomplir son devoir"
Thuvia était terrifiée, elle ne comprenait pas tout ce qui se passait mais elle savait que c'était terrible... et elle s'inquiétait sur son sort.
La créature s'en alla sans dire mot de plus, mais thuvia savait qu'elle reviendrait... quand son esprit sera faible.
Gelorn gémit, il commençait à retrouver ses forces.
"ça ira Gelorn ? As-tu entendu ce qu'a dit cette... créature ?"
demanda la guerrière.
"oui, j'aurai préféré ne pas l'entendre... ton oracle, c'est bien lui... enfin une partie de lui, une autre partie...
Mionak-Todem, "Les gémaux du temps" dans la langue des anciens temps... la légende raconte qu'une puissante prêtresse avait découvert les secrets du temps, elle était dévouée au grand dieu du temps... elle était accompagnée par sa soeur, elle aussi prêtresse, qui étudiait les secrets de la vie...
Cette prêtresse devint si puissant par sa découverte, qu'elle réussis à bannir son propre dieu de notre monde... mais avant de s'en aller, celui-ci lanca une malédiction au deux soeurs.
-vous qui êtes aussi puissantes, je vous condamne à rester éternellement désunis, vous serait celles qui apporteront le chaos, malgrés vos pouvoir vous ne pourrais apporter la paix... et je scelle cet instant pour que vous ne puissiez jamais revenir sur erreur"
Gelorn se reposa un instant pour retrouver son souffle et repris à nouveau le récit de la légende :
"ainsi les deux soeurs devinrent immortels, enfin, leurs âmes devinrent immortelles, et leurs esprits furent diviser.
Le controle du temps permet de prédir l'avenir, et donc d'empecher des guerres ou de sauver des vies... mais il peut aussi faire le contraire, organiser des complots qui déclenchent des guerres... déclencher des massacres...
Ainsi comme l'avait annoncé le dieu, la pretresse n'aporterait plus que le chaos, tout ce qu'elle pourrait prédir en tant qu'oracle n'aurait que des effets dévastateurs, et sa soeur qui cherchait à comprendre les secrets de la vie, n'apporterait que la mort...
le sort ne pourra être rompu que si les deux êtres retrouvaient leur face bienveillante, le bien ne peut vivre sans le mal, le mal peut tout détruire sans le bien..."
gelorn perdit connaissance...
Maintenant que j'ai réintégré un corps, je peux reprendre des forces, regarde pauvre mortel !
La créature se concentra, elle commença à emettre un bruit sourd et profond, ce cri s'amplifiait en même temps que la lueur maléfique au fond de ses yeux
Thuvia n'en croyait pas ses yeux, les blessures de la créature se refermait d'elle mêmes, son "corps" reprenait des couleurs, on sentait le sang palpiter dans les veines et les muscles se durcir.
Thuvia ne comprenait pas ce qu'il se passait au début, le visage de la créature changeait en plus de son corps, il devenait plus beau, plus clair, d'une malveillante beauté.
"Contemple ta nouvelle maitresse, guerrière, contemple Mionak-Toden, la serviteuse du temps, la maitresse du temps !
Bientôt ton esprit sera faible et ton corps pourra acceuillir l'âme de ma soeur, Kellak-Toden, la serviteuse de la Mort, elle aura besoin d'un corps beau, jeune et fort pour accomplir son devoir"
Thuvia était terrifiée, elle ne comprenait pas tout ce qui se passait mais elle savait que c'était terrible... et elle s'inquiétait sur son sort.
La créature s'en alla sans dire mot de plus, mais thuvia savait qu'elle reviendrait... quand son esprit sera faible.
Gelorn gémit, il commençait à retrouver ses forces.
"ça ira Gelorn ? As-tu entendu ce qu'a dit cette... créature ?"
demanda la guerrière.
"oui, j'aurai préféré ne pas l'entendre... ton oracle, c'est bien lui... enfin une partie de lui, une autre partie...
Mionak-Todem, "Les gémaux du temps" dans la langue des anciens temps... la légende raconte qu'une puissante prêtresse avait découvert les secrets du temps, elle était dévouée au grand dieu du temps... elle était accompagnée par sa soeur, elle aussi prêtresse, qui étudiait les secrets de la vie...
Cette prêtresse devint si puissant par sa découverte, qu'elle réussis à bannir son propre dieu de notre monde... mais avant de s'en aller, celui-ci lanca une malédiction au deux soeurs.
-vous qui êtes aussi puissantes, je vous condamne à rester éternellement désunis, vous serait celles qui apporteront le chaos, malgrés vos pouvoir vous ne pourrais apporter la paix... et je scelle cet instant pour que vous ne puissiez jamais revenir sur erreur"
Gelorn se reposa un instant pour retrouver son souffle et repris à nouveau le récit de la légende :
"ainsi les deux soeurs devinrent immortels, enfin, leurs âmes devinrent immortelles, et leurs esprits furent diviser.
Le controle du temps permet de prédir l'avenir, et donc d'empecher des guerres ou de sauver des vies... mais il peut aussi faire le contraire, organiser des complots qui déclenchent des guerres... déclencher des massacres...
Ainsi comme l'avait annoncé le dieu, la pretresse n'aporterait plus que le chaos, tout ce qu'elle pourrait prédir en tant qu'oracle n'aurait que des effets dévastateurs, et sa soeur qui cherchait à comprendre les secrets de la vie, n'apporterait que la mort...
le sort ne pourra être rompu que si les deux êtres retrouvaient leur face bienveillante, le bien ne peut vivre sans le mal, le mal peut tout détruire sans le bien..."
gelorn perdit connaissance...
Dernière édition par CaMarchePas le Mer Juin 30, 2004 8:04 am, édité 2 fois.
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par Pingouin givré » Mar Juin 22, 2004 8:26 pm
@ camarchepas, petit raccord : depuis le début, c'est l'esprit d'une femme qui a pris possession du noble. Thuvia sera donc réservée pour le prêtre, serviteur/Maître du temps et non pas à la 'serviteuse de la mort" ; à modifier donc.
- Mais qu'est-ce que tu veux dire par là Gelorn ? des faces bienveillantes ? Gelorn .... GELORN ! crie Thuvia de sa voix perçante.
Mais elle peut voir que pour lui sa fin est proche. Complètement inconscient, elle constate avec horreur que son compagnon se vide petit à petit de son sang. Ses blessures éparses ne semblent même pas vouloir cicatriser. elle le regarderait presque mourir sous ses yeux si elle ne possédait pas une once d'esprit combatif. Au contraire, elle tente de mobiliser toute l'énergie dont elle dispose pour le sauver.
Très calme, elle ferme alors les yeux, et se remémore le rude apprentissage de la vie d'amazone. Tous les entrainements épuisants et son expérience au combat qui l'ont mené ici, et elle se doute que la solution à sa situation se trouve quelque part enfoui dans ses souvenirs. Mais Ne trouvant pas de réponses immédiates, elle décide de laisser vagabonder son esprit, libre de toute entrave, libre d'aller et venir dans le flux de sa mémoire.
Murmurant comme pour elle-même :
- Ô déesse Félice, protectrice de ton peuple, guide-moi... je t'en conjure.
Finalement Ses pensées, ses souvenirs remontent alors petit à petit le flot du temps pour aboutir à une scène dont elle se rappellle encore mais dont la signification lui échappe : une nuit d'été... son enlèvement.... son instructrice lui faisant un sermon . Comme dans un rêve Thuvia revit alors cette scène clairement :
- Nous t'avons enfin retrouvé Thuvia, dit Cénéria. Franchement tu me deçois, petite....Je croyais pourtant t'avoir dit de faire attention à ne pas t'aventurer près de ces marchands d'esclaves. Et puis ces cordes, attachées de cette façon... elles n'auraient même pas dû te retenir ! Alors dis moi la façon de procéder : sinon, je te ramène en te trainant sur la route comme la dernière des imbéciles... Je suis sûr que les membres de notre clan sauront te récompenser de ton manque d'entrainement.
La Thuvia de l'époque, apeurée, réfléchit alors à toute vitesse....
- Je....d'abord ne penser à rien, détendre mes muscles sans tirer sur les cordes pour ne pas les resserrer ... puis...
Tel un courant d'air frais dans la salle de torture, Thuvia ouvre alors les yeux :
- Merci déesse, maintenant je me souviens.
Retrouvant les sensations de sa vision elle procède de la même façon qu'il y a 9 ans. L'esprit vide mais déterminé, elle remet en pratique ces exercices complexes mais si courant chez les amazones. Dans un demi rêve, elle sent tout ses muscles se relacher, sa tension s'évanouir puis une torsion au niveau du poignet comme si ses jointures se disloquaient.. Enfin le frottement de sa peau contre la corde...
Elle ouvre alors les yeux, son souffle presque inexistant, puis se remet à respirer plus régulièrement. Ses poignets sont rougis et la peau est striée de coupures dues à la corde. Mais intérieurement elle jubile :
- OUI j'ai réussi. bénies soient la déesse et Cérécia ! Maintenant au tour de Gelorn. Que l'on sorte de cette tour maudite en entier !
- Mais qu'est-ce que tu veux dire par là Gelorn ? des faces bienveillantes ? Gelorn .... GELORN ! crie Thuvia de sa voix perçante.
Mais elle peut voir que pour lui sa fin est proche. Complètement inconscient, elle constate avec horreur que son compagnon se vide petit à petit de son sang. Ses blessures éparses ne semblent même pas vouloir cicatriser. elle le regarderait presque mourir sous ses yeux si elle ne possédait pas une once d'esprit combatif. Au contraire, elle tente de mobiliser toute l'énergie dont elle dispose pour le sauver.
Très calme, elle ferme alors les yeux, et se remémore le rude apprentissage de la vie d'amazone. Tous les entrainements épuisants et son expérience au combat qui l'ont mené ici, et elle se doute que la solution à sa situation se trouve quelque part enfoui dans ses souvenirs. Mais Ne trouvant pas de réponses immédiates, elle décide de laisser vagabonder son esprit, libre de toute entrave, libre d'aller et venir dans le flux de sa mémoire.
Murmurant comme pour elle-même :
- Ô déesse Félice, protectrice de ton peuple, guide-moi... je t'en conjure.
Finalement Ses pensées, ses souvenirs remontent alors petit à petit le flot du temps pour aboutir à une scène dont elle se rappellle encore mais dont la signification lui échappe : une nuit d'été... son enlèvement.... son instructrice lui faisant un sermon . Comme dans un rêve Thuvia revit alors cette scène clairement :
- Nous t'avons enfin retrouvé Thuvia, dit Cénéria. Franchement tu me deçois, petite....Je croyais pourtant t'avoir dit de faire attention à ne pas t'aventurer près de ces marchands d'esclaves. Et puis ces cordes, attachées de cette façon... elles n'auraient même pas dû te retenir ! Alors dis moi la façon de procéder : sinon, je te ramène en te trainant sur la route comme la dernière des imbéciles... Je suis sûr que les membres de notre clan sauront te récompenser de ton manque d'entrainement.
La Thuvia de l'époque, apeurée, réfléchit alors à toute vitesse....
- Je....d'abord ne penser à rien, détendre mes muscles sans tirer sur les cordes pour ne pas les resserrer ... puis...
Tel un courant d'air frais dans la salle de torture, Thuvia ouvre alors les yeux :
- Merci déesse, maintenant je me souviens.
Retrouvant les sensations de sa vision elle procède de la même façon qu'il y a 9 ans. L'esprit vide mais déterminé, elle remet en pratique ces exercices complexes mais si courant chez les amazones. Dans un demi rêve, elle sent tout ses muscles se relacher, sa tension s'évanouir puis une torsion au niveau du poignet comme si ses jointures se disloquaient.. Enfin le frottement de sa peau contre la corde...
Elle ouvre alors les yeux, son souffle presque inexistant, puis se remet à respirer plus régulièrement. Ses poignets sont rougis et la peau est striée de coupures dues à la corde. Mais intérieurement elle jubile :
- OUI j'ai réussi. bénies soient la déesse et Cérécia ! Maintenant au tour de Gelorn. Que l'on sorte de cette tour maudite en entier !
Dernière édition par Pingouin givré le Mer Juin 23, 2004 12:20 am, édité 1 fois.
- Nous sommes tous blasés, nous autres les héros. C'est un critère de sélection. Nous combattons un ou deux monstres tous les matins, avant le petit déjeuner. Ca nous ouvre l'appétit. [Garion MAL CV p42]
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par doagui » Jeu Juin 24, 2004 12:06 pm
Je crois qu'il y a un pb de concordance des temps: l'histoire est parfois au passé, des fois au présent! Perso, je trouve que le passé est plus logique, mais bon.
Thuvia était donc détachée, mais elle était toujours enfermée. Elle sortit une petite fiole sur laquelle des runes d'argent étaient gravées de son corsage, puis l'approcha de la fenêtre. La nuit était tombée et seule la lumière de la Lune lui parvenait au travers des barreaux. Elle mit sa main dans le faible rayon. Alors, la fiole se refroidit petit à petit et devint plus lourde, en produisant un son léger, rappelant à Thuvia la chant du vent dans les roseaux. Lorsque le silence revint, Thuvia brisa la fiole contre une pierre. Aucun liquide ne se déversa pourtant, seul un cristal tomba au sol. Elle s'en saisit en se promettant de remercier la pretresse de son village pour ce présent, et entreprit de trancher les liens de son compagnon.
Lorsque les liens ne furent plus, elle observa les blessures.
"Des morsures de karnos! Pas étonnant qu'elles ne cicatrisent pas! Ces saletés ont du t'infecter de leur poison."
Elle n'avait pas d'antidote, et se demandait quoi faire. Elle sentit alors des doigs se ressérer sur son poignet.
"Tu ne pensais quand même pas que j'étais venu sans rien?"
Gelorn bougeait avec difficultés, mais il avait toujours ces manières qui l'agaçaient d'habitude mais qu'elle fut soulagée d'entendre cette fois-ci. Elle saisit le sachet qu'il lui tendait, desserra le cordon qui le retenait fermé, et mis doucement un peu de l'onguent qu'il contenait sur les blessures de son compagnon. Elle ne savait pas vraiment ce qu'était ce remède, et attendit, esperant un miracle. Gelorn sourit:
"Qu'espères-tu? Chez-moi nous n'avons pas de sorcier ou de prêtre aussi puissant que les votres et tu le sais! Je n'ai pas de quoi arrêter le poison, mais au moins sa progression est ralentie. Sortons d'ici au plus vite!"
Il se releva péniblement, et observa la porte qui les maintenait prisonniers. Il n'y avait aucun serrure, rien, et il du avouer que ses talents de "serrurier" ne lui seraient d'aucun secours. A cet instant, il se recula de la porte.
"Quelque chose a bougé derrière!"
Le grattement que Thuvia avait entendu en entrant dans la tour se fit entendre une nouvelle fois. Elle se saisit du cristal de Lune avec lequel elle avait libéré son compagnon et se posta derrière la porte qui s'ouvrait, prête à égorger quiconque se présenterait.
"Arrête!"criat Gelorn"Ce n'est qu'un lutin!"
Effectivement, la créature qui entrait n'était ni un orc, ni quoi que ce soit d'aussi dangereux. C'était une petite chose, semblable à un tissu frippé et malodorant à qui un sorcier maladroit aurait donné la capacité de se mouvoir. Il avait cependant une lame trop grande pour lui dans une de ses mains et parut surpris de voir Thuvia et Gelorn libres.
"Que...Comment vous êtes vous détachés?"
"Peu importe, que viens-tu faire ici avec cette arme?" demanda Thuvia
"Je venais pour vous aider à trancher vos liens, je vous le jure!"
Thuvia observa le lutin. Il était coupé par endroit et portait de nombreuses cicatrices sur tout le corps. Il avait même une jambe de bois qui produisait le grattement en frottant contre le sol. Elle se dit alors que ces traitements qu'on lui infligeait avit du lui apprendre à haïr sa maîtresse, et qu'après tout il était possible qu'il n'attende que l'occasion d'aider quiconque pourrait l'aider à s'échapper.
Thuvia était donc détachée, mais elle était toujours enfermée. Elle sortit une petite fiole sur laquelle des runes d'argent étaient gravées de son corsage, puis l'approcha de la fenêtre. La nuit était tombée et seule la lumière de la Lune lui parvenait au travers des barreaux. Elle mit sa main dans le faible rayon. Alors, la fiole se refroidit petit à petit et devint plus lourde, en produisant un son léger, rappelant à Thuvia la chant du vent dans les roseaux. Lorsque le silence revint, Thuvia brisa la fiole contre une pierre. Aucun liquide ne se déversa pourtant, seul un cristal tomba au sol. Elle s'en saisit en se promettant de remercier la pretresse de son village pour ce présent, et entreprit de trancher les liens de son compagnon.
Lorsque les liens ne furent plus, elle observa les blessures.
"Des morsures de karnos! Pas étonnant qu'elles ne cicatrisent pas! Ces saletés ont du t'infecter de leur poison."
Elle n'avait pas d'antidote, et se demandait quoi faire. Elle sentit alors des doigs se ressérer sur son poignet.
"Tu ne pensais quand même pas que j'étais venu sans rien?"
Gelorn bougeait avec difficultés, mais il avait toujours ces manières qui l'agaçaient d'habitude mais qu'elle fut soulagée d'entendre cette fois-ci. Elle saisit le sachet qu'il lui tendait, desserra le cordon qui le retenait fermé, et mis doucement un peu de l'onguent qu'il contenait sur les blessures de son compagnon. Elle ne savait pas vraiment ce qu'était ce remède, et attendit, esperant un miracle. Gelorn sourit:
"Qu'espères-tu? Chez-moi nous n'avons pas de sorcier ou de prêtre aussi puissant que les votres et tu le sais! Je n'ai pas de quoi arrêter le poison, mais au moins sa progression est ralentie. Sortons d'ici au plus vite!"
Il se releva péniblement, et observa la porte qui les maintenait prisonniers. Il n'y avait aucun serrure, rien, et il du avouer que ses talents de "serrurier" ne lui seraient d'aucun secours. A cet instant, il se recula de la porte.
"Quelque chose a bougé derrière!"
Le grattement que Thuvia avait entendu en entrant dans la tour se fit entendre une nouvelle fois. Elle se saisit du cristal de Lune avec lequel elle avait libéré son compagnon et se posta derrière la porte qui s'ouvrait, prête à égorger quiconque se présenterait.
"Arrête!"criat Gelorn"Ce n'est qu'un lutin!"
Effectivement, la créature qui entrait n'était ni un orc, ni quoi que ce soit d'aussi dangereux. C'était une petite chose, semblable à un tissu frippé et malodorant à qui un sorcier maladroit aurait donné la capacité de se mouvoir. Il avait cependant une lame trop grande pour lui dans une de ses mains et parut surpris de voir Thuvia et Gelorn libres.
"Que...Comment vous êtes vous détachés?"
"Peu importe, que viens-tu faire ici avec cette arme?" demanda Thuvia
"Je venais pour vous aider à trancher vos liens, je vous le jure!"
Thuvia observa le lutin. Il était coupé par endroit et portait de nombreuses cicatrices sur tout le corps. Il avait même une jambe de bois qui produisait le grattement en frottant contre le sol. Elle se dit alors que ces traitements qu'on lui infligeait avit du lui apprendre à haïr sa maîtresse, et qu'après tout il était possible qu'il n'attende que l'occasion d'aider quiconque pourrait l'aider à s'échapper.
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par RickooN » Jeu Juin 24, 2004 11:15 pm
allez, c est parti pour la séquence "humour" de cette histoire ...
...
Se fiant à son instinc, Thuvia décida donc de croire le lutin : "Soit, mais comment t appelles tu ?"
"Mon nom, en langage lutin serait complétement imprononçable pour vous mais les hommes me surnomment CaMarchePas, car je suis toujours obligé de courrir pour aller au même rythme que vous ... je ne marche donc jamais quand je suis à votre contact ... d'où mon surnom !"
Thuvia et Gelorn, après s être présentés à leur tour rapidement, se dirigent donc vers la sortie et commencent à descendre les escaliers.
CaMarchePas s'exclama :"Non mes amis !!!! Pas ce chemin !!! Il vous apparait comme étant le plus rapide à vos yeux mais sa seule destination est la mort assurée !!! Maintenant que ma Maîtresse est revenue parmi nous, le seul sens autorisé dans cette tour est celui qui va du bas vers le haut : et il est impossible de descendre sans y trouver une mort certaine !!!"
"Comment cela est il possible ?" demanda Thuvia.
"C'est comme ça, ne me demandez pas pourquoi ... cela a toujours été ainsi quand la Maîtresse est présente : la sortie se trouve tout en haut, et il existe un portail magique qui vous transportera juste à l entrée de cette tour." dit CaMarchePas.
Et il ajouta :
"Mais avant de pouvoir accéder à ce portail, il vous faudra auparavant affronter la Maîtresse, sans oublier ses nombreux serviteurs..."
bien sûr, toute ressemblance avec une personne vivante ou ayant vécu est complétement dûe à ma seule volonté
...
Se fiant à son instinc, Thuvia décida donc de croire le lutin : "Soit, mais comment t appelles tu ?"
"Mon nom, en langage lutin serait complétement imprononçable pour vous mais les hommes me surnomment CaMarchePas, car je suis toujours obligé de courrir pour aller au même rythme que vous ... je ne marche donc jamais quand je suis à votre contact ... d'où mon surnom !"
Thuvia et Gelorn, après s être présentés à leur tour rapidement, se dirigent donc vers la sortie et commencent à descendre les escaliers.
CaMarchePas s'exclama :"Non mes amis !!!! Pas ce chemin !!! Il vous apparait comme étant le plus rapide à vos yeux mais sa seule destination est la mort assurée !!! Maintenant que ma Maîtresse est revenue parmi nous, le seul sens autorisé dans cette tour est celui qui va du bas vers le haut : et il est impossible de descendre sans y trouver une mort certaine !!!"
"Comment cela est il possible ?" demanda Thuvia.
"C'est comme ça, ne me demandez pas pourquoi ... cela a toujours été ainsi quand la Maîtresse est présente : la sortie se trouve tout en haut, et il existe un portail magique qui vous transportera juste à l entrée de cette tour." dit CaMarchePas.
Et il ajouta :
"Mais avant de pouvoir accéder à ce portail, il vous faudra auparavant affronter la Maîtresse, sans oublier ses nombreux serviteurs..."
bien sûr, toute ressemblance avec une personne vivante ou ayant vécu est complétement dûe à ma seule volonté
Vous voulez sauver un arbre ? Mangez un castor :ack:
no sign
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par CaMarchePas » Ven Juin 25, 2004 9:58 am
**smiley du marto 50000 mega tonnes**
**PAFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF** Rickoon
t'as déjà vu un lutin d'un mètre 90 et qui pèse son quintal
ah ces djeunz à s't'heure...
je suis pas d'accord, comment je continue l'histoire moi si je suis dedans ? en lutin en plus
d'habitude on me cite comme un ogre, un barbare, un berserker nain, un démon, un chevalier du chaos... mais un lutin non !
bon venait pas vous plaindre si le lutin vous locks vos topics après
vais devoir me venger... sur le premier que je trouverais...
"n'écoute pas ce gnome" dit gelorn
"tiens l'es pas mort lui ?" répondit cmp
"les lutins ont toujours de sales tours dans leur poches... il ne faut pas leur faire confiance"
"et les rodeurs sont toujours tapis dans l'ombre une dague à la main, ils font des trucs pas trés sains avec leurs compagnons animaux dans la foret et ils épient les demoiselles depuis les buissons autour des bassins où elles se baignent"
Gelorn rougit de honte... car il savait que certaines de ces choses n'étaient pas infondée "ah, Amanda, que tu étais sublime quand tu te baignais... j'adorais tes formes, tu étais d'une gentillesse incroyable..."
pensa-t-il en se remémorant sa chienne de chasse qui disparut l'an dernier.
"même pas vrai d'abord !" rétorqu'a-t-il
"c'est pas un peu fini ces gamineries" cria Thuvia
Le lutin parti dans les escaliers, thuvia se précipita pour le suivre, gelorn ne bougeait pas
"tu ne viens pas ?"
"nan, j'aime pas les lutins"
"mais c'est peut-être notre seule chance de sortir d'ici"
"bon ok on y va"
les deux compagnons gravirent les marches pour rattraper le lutin mais il avais disparut...
ils atteignirent une salle avec une grande table préparée sans doute pour un buffet... sauf que personne n'étais là pour venir manger...
thuvia aurait préféré que c'était un peu trop plus moins calme...
désolé pour le délire mais je pouvais pas laissez ça
@caribou : t'as de la chance, dans la première version to nrodeur se faisait dévorer par un certain lutin métamorphe loup-garou
**PAFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF** Rickoon
t'as déjà vu un lutin d'un mètre 90 et qui pèse son quintal
ah ces djeunz à s't'heure...
je suis pas d'accord, comment je continue l'histoire moi si je suis dedans ? en lutin en plus
d'habitude on me cite comme un ogre, un barbare, un berserker nain, un démon, un chevalier du chaos... mais un lutin non !
bon venait pas vous plaindre si le lutin vous locks vos topics après
vais devoir me venger... sur le premier que je trouverais...
"n'écoute pas ce gnome" dit gelorn
"tiens l'es pas mort lui ?" répondit cmp
"les lutins ont toujours de sales tours dans leur poches... il ne faut pas leur faire confiance"
"et les rodeurs sont toujours tapis dans l'ombre une dague à la main, ils font des trucs pas trés sains avec leurs compagnons animaux dans la foret et ils épient les demoiselles depuis les buissons autour des bassins où elles se baignent"
Gelorn rougit de honte... car il savait que certaines de ces choses n'étaient pas infondée "ah, Amanda, que tu étais sublime quand tu te baignais... j'adorais tes formes, tu étais d'une gentillesse incroyable..."
pensa-t-il en se remémorant sa chienne de chasse qui disparut l'an dernier.
"même pas vrai d'abord !" rétorqu'a-t-il
"c'est pas un peu fini ces gamineries" cria Thuvia
Le lutin parti dans les escaliers, thuvia se précipita pour le suivre, gelorn ne bougeait pas
"tu ne viens pas ?"
"nan, j'aime pas les lutins"
"mais c'est peut-être notre seule chance de sortir d'ici"
"bon ok on y va"
les deux compagnons gravirent les marches pour rattraper le lutin mais il avais disparut...
ils atteignirent une salle avec une grande table préparée sans doute pour un buffet... sauf que personne n'étais là pour venir manger...
thuvia aurait préféré que c'était un peu trop plus moins calme...
désolé pour le délire mais je pouvais pas laissez ça
@caribou : t'as de la chance, dans la première version to nrodeur se faisait dévorer par un certain lutin métamorphe loup-garou
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par Vagabond » Lun Juin 28, 2004 6:58 pm
Désolé, comme toujours, j'ai fais long... J'espère que ça vous plaira, ça m'as pris 2h 
J'ai essayé de recentrer sur la lutte des deux jumelles. La bonne aiderai les héros. Et j'ai presque pas touché a Gerlon .
@Malygris: si tu avais déjà commencé un truc depuis dimanche, je peux déplacer la bataille plus tard dans l'histoire. Bonne idée ce post en passant, c'est bien sympa de vous lire.
(et d'en rajouter d'ailleurs).
Sans portes ni cloisons, la vaste salle emplissait l’étage de la tour. La table croulait déjà sous les plats et les bouteilles. Pourtant, un homme en tenue de majordome apparût de nulle part et disposa encore quelques assiettes chargées de fruits pour dispaître aussitôt. D’autres suivirent bientôt et disposaient viandes, fromages et autres compositions de légumes au fumet délicat dans un ballet qui semblait infini. Certains réagençaient la table, manquant de place mais aucun ne semblait s’apercevoir de la présence des deux intrus.
Gelorn commença à s’approcher, le nez attentif à cette débauche d’odeurs.
- Nous n’avons pas le temps, quelqu’un pourrait nous voir, lui lança Thuvia.
- Pas ces spectres en tous cas, ils ne font qu’en rajouter. Il sembla réfléchir un instant. Personne ne s’apercevra s’il manque un de ces poissons, et il faut que je reprenne des forces.
- Partons ! L’ordre était sec et impératif. Gelorn tourna enfin la tête vers elle. Ses yeux brillaient d’une lueur irréelle.
- Nom de… Un charme ! C’est un charme imbécile ! Tu…
Une bruyante explosion noya la fin de sa phrase. Les bouteilles sur la table tintèrent violement. Elle leva les yeux en direction du son mais ne vit que le plafond. Elle attendit, attentive à chaque mouvement, à chaque son, vulnérable. Une deuxième détonation fit sursauter Gelorn. Les murs semblèrent s’ébranler dangereusement.
- Qu’est ce que c’est que ça ? Demanda-t-elle, plus pour elle-même.
Elle écouta de nouveau. Le silence semblait encore plus épais. Pourtant, elle cru percevoir un léger sifflement. Elle tendit l’oreille. Ca se rapprochait. Son visage se décomposa. Elle ouvrit la bouche pour avertir son compagnon… trop tard ! Le mur derrière eux vola en éclats. Des rocs aussi gros que des poings fusèrent vers eux. Elle se jeta a terre.Elle pouvait voir des pans entiers du mûr lui frôler la tête. Ils semblaient dévorés par un feu infernal, comme un métal porté au rouge. Elle ferma les yeux pour échapper à cette vision.
Le vacarme gonfla encore un instant puis plus rien. Tuvia n’osait plus bouger. Finalement, elle releva la tête et regarda alentours. Une ouverture béante remplaçait le mur Nord. Des gravats gisaient partout autour d’elle. Quelques uns tombaient encore avec un "poc" creux et mat. Le soleil entrait maintenant librement dans la pièce. Des lais de lumière, rendus visibles par le nuage de poussière illuminaient maintenant le banquet le rendant encore plus impressionnant. Le banquet. Quelque chose clochait. Elle se releva comme pour retrouver son bon sens et le contempla un instant, tout en s’époussetant. Il était indemne. L’explosion ne l’avait même pas effleuré. Un cercle parfait était nettement dessiné sur le sol par les débris tout autour de la table. Mionak-Toden. Elle savait ce qui se passait ici. Elle avait protégé sa table. Elle avait les yeux rivés sur eux. Partir. Il fallait partir. Elle chercha Gelorn du regard. Le souffle l’avait lancé contre le mur. Il gisait là, à l’envers, mais semblait indemne. Elle se hâta dans sa direction et le secoua par le col. Gelorn la dévisagea, les yeux vides. Au moins le charme était rompu.
- Elle sais que nous sommes là, il faut partir !
Il ne cilla pas.
- Allez !
Elle le leva et le tira jusqu’à l’ouverture. Il la suivit mollement, incrédule.
- Que… qu’est ce qui s’est passé ? S’enquit-il
- Il va falloir escalader ! Tu en es capable ? Le ton de Thuvia ne laissait aucune place à la discussion
- Oui… Enfin… Je crois… Oui… Oui, ça ira !
Ils enjambèrent le mur de la tour et commencèrent à grimper le long du mur extérieur. Une voix monta du sol, loin en dessous d’eux. Ou plutôt mille voix, à la fois déchiquetées et amplifiées par le vent :
- DESCEND… DEMONE…. LIBERE …. DUC… OU JE… ENSEVELIRAI… PROPRE TOUR…
Ils baissèrent les yeux. Tout en bas, une foule était massée devant la tour. Probablement les partisans du noble. Leur meneur portait des longues robes bigarrées et un bâton. Ce devait être un mage. Ce serait donc lui le responsable de ces assauts. Derrière lui, une poignée d’hommes en armes leur renvoyaient les reflets de leurs armures. Derrière eux une foule impressionnante s’agitait. Certains fuyaient déjà. C’est alors qu’une autre voix tonna dans le ciel, lugubre et glaciale. Ils frissonnèrent à l’unisson dès les premières paroles. C’était Mionak-Toden.
- TU NE TUERAIS PAS TON MAITRE, ILLYDIL, TU LE SAIS COMME MOI. ALLONS, NE ME FAIS PAS LANGUIR. MONTES.
Ce n’était pas un ordre, mais une simple constatation. Il monterait, elle le savait. Ils le savaient tous les deux. Le mage s’exécuta et passa la porte. Les hommes hésitèrent un moment puis le rattrapèrent.
Comment lutter contre un ennemi qui voit l’avenir ? Thuvia regarda les hommes s’engouffrer dans la tour et le banquet se dessina dans sa tête. Ce piège était pour eux ! Ils les détruirait à la façon si particulière des magiciens.
- On ne devrait pas les aider ? demanda Gelorn
- Non, il faut profiter de cette diversion pour avancer. Notre seule chance est qu’elle ne nous surveille pas pendant que nous approchons. Répondit Thuvia, froidement.
- Tu es bien une guerrière tiens ! Enfin… Ca a du sens… Dans ce cas, avançons. Je vois une autre brèche là-haut.
Il repris l’ascension du mur. Il avançait vite : A cet endroit, la tour s’inclinait vers le Sud, rendant l’escalade aisée.
Thuvia regarda le pallier de la tour. Quelques hommes étaient restés là, terrorisés. Elle songea à la salle qu’ils venaient de quitter. C’était le lutin qui les avait menés là. Comme s’il savait que le magicien attaquerait et qu’une brèche allait s’ouvrir. Les lutins ne sont que des serviteurs. Ils ne peuvent pas prédire l'avenir. Elle sourit. Ils avaient un allié dans ces murs. Un allié puissant. Elle porta son regard vers le haut. Gelorn était déjà loin. Elle entreprit de le rejoindre avec ardeur. Mi-rampant, mi-escaladant. Pour la première fois depuis qu’elle avait frappé à cette porte, elle se sentait optimiste.
J'espère que ça vous plaira, ça m'as pris 2h J'ai essayé de recentrer sur la lutte des deux jumelles. La bonne aiderai les héros. Et j'ai presque pas touché a Gerlon .
@Malygris: si tu avais déjà commencé un truc depuis dimanche, je peux déplacer la bataille plus tard dans l'histoire. Bonne idée ce post en passant, c'est bien sympa de vous lire.
(et d'en rajouter d'ailleurs).
Sans portes ni cloisons, la vaste salle emplissait l’étage de la tour. La table croulait déjà sous les plats et les bouteilles. Pourtant, un homme en tenue de majordome apparût de nulle part et disposa encore quelques assiettes chargées de fruits pour dispaître aussitôt. D’autres suivirent bientôt et disposaient viandes, fromages et autres compositions de légumes au fumet délicat dans un ballet qui semblait infini. Certains réagençaient la table, manquant de place mais aucun ne semblait s’apercevoir de la présence des deux intrus.
Gelorn commença à s’approcher, le nez attentif à cette débauche d’odeurs.
- Nous n’avons pas le temps, quelqu’un pourrait nous voir, lui lança Thuvia.
- Pas ces spectres en tous cas, ils ne font qu’en rajouter. Il sembla réfléchir un instant. Personne ne s’apercevra s’il manque un de ces poissons, et il faut que je reprenne des forces.
- Partons ! L’ordre était sec et impératif. Gelorn tourna enfin la tête vers elle. Ses yeux brillaient d’une lueur irréelle.
- Nom de… Un charme ! C’est un charme imbécile ! Tu…
Une bruyante explosion noya la fin de sa phrase. Les bouteilles sur la table tintèrent violement. Elle leva les yeux en direction du son mais ne vit que le plafond. Elle attendit, attentive à chaque mouvement, à chaque son, vulnérable. Une deuxième détonation fit sursauter Gelorn. Les murs semblèrent s’ébranler dangereusement.
- Qu’est ce que c’est que ça ? Demanda-t-elle, plus pour elle-même.
Elle écouta de nouveau. Le silence semblait encore plus épais. Pourtant, elle cru percevoir un léger sifflement. Elle tendit l’oreille. Ca se rapprochait. Son visage se décomposa. Elle ouvrit la bouche pour avertir son compagnon… trop tard ! Le mur derrière eux vola en éclats. Des rocs aussi gros que des poings fusèrent vers eux. Elle se jeta a terre.Elle pouvait voir des pans entiers du mûr lui frôler la tête. Ils semblaient dévorés par un feu infernal, comme un métal porté au rouge. Elle ferma les yeux pour échapper à cette vision.
Le vacarme gonfla encore un instant puis plus rien. Tuvia n’osait plus bouger. Finalement, elle releva la tête et regarda alentours. Une ouverture béante remplaçait le mur Nord. Des gravats gisaient partout autour d’elle. Quelques uns tombaient encore avec un "poc" creux et mat. Le soleil entrait maintenant librement dans la pièce. Des lais de lumière, rendus visibles par le nuage de poussière illuminaient maintenant le banquet le rendant encore plus impressionnant. Le banquet. Quelque chose clochait. Elle se releva comme pour retrouver son bon sens et le contempla un instant, tout en s’époussetant. Il était indemne. L’explosion ne l’avait même pas effleuré. Un cercle parfait était nettement dessiné sur le sol par les débris tout autour de la table. Mionak-Toden. Elle savait ce qui se passait ici. Elle avait protégé sa table. Elle avait les yeux rivés sur eux. Partir. Il fallait partir. Elle chercha Gelorn du regard. Le souffle l’avait lancé contre le mur. Il gisait là, à l’envers, mais semblait indemne. Elle se hâta dans sa direction et le secoua par le col. Gelorn la dévisagea, les yeux vides. Au moins le charme était rompu.
- Elle sais que nous sommes là, il faut partir !
Il ne cilla pas.
- Allez !
Elle le leva et le tira jusqu’à l’ouverture. Il la suivit mollement, incrédule.
- Que… qu’est ce qui s’est passé ? S’enquit-il
- Il va falloir escalader ! Tu en es capable ? Le ton de Thuvia ne laissait aucune place à la discussion
- Oui… Enfin… Je crois… Oui… Oui, ça ira !
Ils enjambèrent le mur de la tour et commencèrent à grimper le long du mur extérieur. Une voix monta du sol, loin en dessous d’eux. Ou plutôt mille voix, à la fois déchiquetées et amplifiées par le vent :
- DESCEND… DEMONE…. LIBERE …. DUC… OU JE… ENSEVELIRAI… PROPRE TOUR…
Ils baissèrent les yeux. Tout en bas, une foule était massée devant la tour. Probablement les partisans du noble. Leur meneur portait des longues robes bigarrées et un bâton. Ce devait être un mage. Ce serait donc lui le responsable de ces assauts. Derrière lui, une poignée d’hommes en armes leur renvoyaient les reflets de leurs armures. Derrière eux une foule impressionnante s’agitait. Certains fuyaient déjà. C’est alors qu’une autre voix tonna dans le ciel, lugubre et glaciale. Ils frissonnèrent à l’unisson dès les premières paroles. C’était Mionak-Toden.
- TU NE TUERAIS PAS TON MAITRE, ILLYDIL, TU LE SAIS COMME MOI. ALLONS, NE ME FAIS PAS LANGUIR. MONTES.
Ce n’était pas un ordre, mais une simple constatation. Il monterait, elle le savait. Ils le savaient tous les deux. Le mage s’exécuta et passa la porte. Les hommes hésitèrent un moment puis le rattrapèrent.
Comment lutter contre un ennemi qui voit l’avenir ? Thuvia regarda les hommes s’engouffrer dans la tour et le banquet se dessina dans sa tête. Ce piège était pour eux ! Ils les détruirait à la façon si particulière des magiciens.
- On ne devrait pas les aider ? demanda Gelorn
- Non, il faut profiter de cette diversion pour avancer. Notre seule chance est qu’elle ne nous surveille pas pendant que nous approchons. Répondit Thuvia, froidement.
- Tu es bien une guerrière tiens ! Enfin… Ca a du sens… Dans ce cas, avançons. Je vois une autre brèche là-haut.
Il repris l’ascension du mur. Il avançait vite : A cet endroit, la tour s’inclinait vers le Sud, rendant l’escalade aisée.
Thuvia regarda le pallier de la tour. Quelques hommes étaient restés là, terrorisés. Elle songea à la salle qu’ils venaient de quitter. C’était le lutin qui les avait menés là. Comme s’il savait que le magicien attaquerait et qu’une brèche allait s’ouvrir. Les lutins ne sont que des serviteurs. Ils ne peuvent pas prédire l'avenir. Elle sourit. Ils avaient un allié dans ces murs. Un allié puissant. Elle porta son regard vers le haut. Gelorn était déjà loin. Elle entreprit de le rejoindre avec ardeur. Mi-rampant, mi-escaladant. Pour la première fois depuis qu’elle avait frappé à cette porte, elle se sentait optimiste.
Dernière édition par Vagabond le Mer Juin 30, 2004 2:45 am, édité 1 fois.
- Celui qui fait couler le sang de mille monstres deviens lui même un monstre -
Par exemple : Selune [seraphin lvl 16, HC Closed] ou Touriste [gladiateur lvl 3x, Closed]
Par exemple : Selune [seraphin lvl 16, HC Closed] ou Touriste [gladiateur lvl 3x, Closed]
- Vagabond
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par doagui » Mer Juin 30, 2004 12:33 am
Thuvia remarqua que Gelorn n'était plus visible au dessus d'elle. Elle continua son ascension, en se demandant bien ce qui avait pu se passer, quand sa main passa à travers une pierre. Elle faillit lacher prise tant la surprise fut grande! Cependant, elle entendit Gelorn qui riait à travers la paroi et se décidat tant bien que mal à passer entièrement de l'autre côté. Là, ils prirent ensemble un petit escalier qui allait les menner vers les hauteurs de la tour. Après quelques instants seulement, ils atteignirent une porte faite d'un métal lisse comme la surface du lac que Thuvia pouvait voir de son village. Elle s'avança et s'apprêtait à ouvrir la porte, quand Gelorn la retint:
"Attend! On ne sait pas trop ce qui pourrait arriver, après tout! Nous savons à présent que notre "hôte" est une puissante illusionniste, alors méfions-nous..."
"Ce que tu peux être pessimistes! Elle a bien assez à faire avec les villageois, et toute puissante qu'elle soit elle ne doit pas pouvoir maintenir des milliers de sortilèges en action. Entrons!"
Mais Thuvia allait regretter son manque de méfiance, car à peine avait-elle effleuré la porte qu'elle se sentit attirée au travers. Sa main semblait avoir été attrapée et tirée par une force inconnue, et Thuvia trébucha pour ne toucher le sol que dans la salle suivante. Elle reprit ses esprits, et tout ce qu'elle vit de prime abord était une intense lumière. En fait, il s'agissait plus d'une multitude de petites sources lumineuses flottant dans l'ai et tournoyant dans la salle qui était circulaire. Thuvia vit avec effroi que les murs étaient fait d'une matière aussi lisse que la porte, et que justement cette dernière semblait n'avoir jamais existé! Elle ne vit pas Gelorn, tout ce qu'elle discernait était son reflet sur les paroies de la salle, et les lumières qui tournoyaient de plus en plus vite.
Thuvia était désormais seule face à cette épreuve.
"Attend! On ne sait pas trop ce qui pourrait arriver, après tout! Nous savons à présent que notre "hôte" est une puissante illusionniste, alors méfions-nous..."
"Ce que tu peux être pessimistes! Elle a bien assez à faire avec les villageois, et toute puissante qu'elle soit elle ne doit pas pouvoir maintenir des milliers de sortilèges en action. Entrons!"
Mais Thuvia allait regretter son manque de méfiance, car à peine avait-elle effleuré la porte qu'elle se sentit attirée au travers. Sa main semblait avoir été attrapée et tirée par une force inconnue, et Thuvia trébucha pour ne toucher le sol que dans la salle suivante. Elle reprit ses esprits, et tout ce qu'elle vit de prime abord était une intense lumière. En fait, il s'agissait plus d'une multitude de petites sources lumineuses flottant dans l'ai et tournoyant dans la salle qui était circulaire. Thuvia vit avec effroi que les murs étaient fait d'une matière aussi lisse que la porte, et que justement cette dernière semblait n'avoir jamais existé! Elle ne vit pas Gelorn, tout ce qu'elle discernait était son reflet sur les paroies de la salle, et les lumières qui tournoyaient de plus en plus vite.
Thuvia était désormais seule face à cette épreuve.
- doagui
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par CaMarchePas » Mer Juin 30, 2004 7:40 am
j'ai fait le ménage pour laisser les messages de l'hsitoire ensemble, ainsi les nouveaux lecteurs ou participants pourront lire facilement l'histoire sans avoir à passer les messages inutiles (bien que l'orange aide déjà)
je pense faire une petite purge de temps en temps pour alléger le topic
Etrange endroit qu'est cette pièce... aucune ouverture, aucune source de lumière apparente mais pourtant... elle y était bien entré et de les mirroirs éclairaient la pièce...
les 4 murs étaient identiques, ainsi que le sol et le plafond...
Le tournoiement des reflets lumineux et la multitude de ses propres reflets firent tourner la tête à la guérrière et elle perdit l'équilibre.
Elle tenta de se relever mais à chaque fois elle finissait par retomber... plus elle s'acharnait, plus vite elle se retrouvait au sol...
Elle finit par comprendre que si elle ne voulait pas perdre la tête, il fallait qu'elle se calme et se concentre pour comprendre comment sortir de là.
Elle se mit en position de méditation et concentra son esprit comme lui ont appris ses soeurs prêtresse de son village.
Après un certain temps, elle était redevenue calme et seraine, elle ne savait pas combien de temps elle était là, aucun repère extérieur dans cette pièce...
Elle se leva tout en fermant les yeux, elle s'avance doucement et prudemment vers un mur, rien ne devait lui faire perdre sa concentration.
Elle commenca alors à longer les murs en les touchant de ses mains dans l'espoir de déceler une ouverture ou même une simple irrégularité dans les parois...
Après de longues heures, ellen'avait rien trouver... le désespoir lui fit perdre sa concentration et elle ouvrit les yeux... les lumières et les reflets bougeaient encore plus vite et elle se retrouva immédiatement face contre terre, au milieu de la pièce...
Et c'est là qu'elle compris son erreur, ce n'était pas sur les murs qu'il fallait chercher mais au sol, au milieu de la pièce, là où elle était tombée de nombreuses fois et là où elle méditait...
Au milieu de la pièce se trouver un cercle à pein plus grand qu'un pouce, le discerner à la vue était très difficile car il était de la même teinte que le reste de la pièce, mais la petite irrégularité dans le mirroir déformait le reflet de son visage...
Elle appuyat sur le cercle, les lumières s'éteignirent puis le sol se déroba...
Elle se retrouva projetée devant la porte par où elle fut aspirée et tomba sur Gelorn qui ammorti sa chute mais qui perdit encore une fois connaissance...
je pense faire une petite purge de temps en temps pour alléger le topic
Etrange endroit qu'est cette pièce... aucune ouverture, aucune source de lumière apparente mais pourtant... elle y était bien entré et de les mirroirs éclairaient la pièce...
les 4 murs étaient identiques, ainsi que le sol et le plafond...
Le tournoiement des reflets lumineux et la multitude de ses propres reflets firent tourner la tête à la guérrière et elle perdit l'équilibre.
Elle tenta de se relever mais à chaque fois elle finissait par retomber... plus elle s'acharnait, plus vite elle se retrouvait au sol...
Elle finit par comprendre que si elle ne voulait pas perdre la tête, il fallait qu'elle se calme et se concentre pour comprendre comment sortir de là.
Elle se mit en position de méditation et concentra son esprit comme lui ont appris ses soeurs prêtresse de son village.
Après un certain temps, elle était redevenue calme et seraine, elle ne savait pas combien de temps elle était là, aucun repère extérieur dans cette pièce...
Elle se leva tout en fermant les yeux, elle s'avance doucement et prudemment vers un mur, rien ne devait lui faire perdre sa concentration.
Elle commenca alors à longer les murs en les touchant de ses mains dans l'espoir de déceler une ouverture ou même une simple irrégularité dans les parois...
Après de longues heures, ellen'avait rien trouver... le désespoir lui fit perdre sa concentration et elle ouvrit les yeux... les lumières et les reflets bougeaient encore plus vite et elle se retrouva immédiatement face contre terre, au milieu de la pièce...
Et c'est là qu'elle compris son erreur, ce n'était pas sur les murs qu'il fallait chercher mais au sol, au milieu de la pièce, là où elle était tombée de nombreuses fois et là où elle méditait...
Au milieu de la pièce se trouver un cercle à pein plus grand qu'un pouce, le discerner à la vue était très difficile car il était de la même teinte que le reste de la pièce, mais la petite irrégularité dans le mirroir déformait le reflet de son visage...
Elle appuyat sur le cercle, les lumières s'éteignirent puis le sol se déroba...
Elle se retrouva projetée devant la porte par où elle fut aspirée et tomba sur Gelorn qui ammorti sa chute mais qui perdit encore une fois connaissance...
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par Malygris » Mer Juin 30, 2004 3:03 pm
Excellente idée le ménage!
Thuvia toujours allonger sur Gelorn sourit. Être couché sur lui était toujours aussi confortable. Cette homme était charmant quand il dormait, mais quand il s'éveillait et parlait de sa voix pompeuse avec sont air "je sais tout" il devenait insuportable. Néanmois il était mignon se dit elle en le regardant évanouis.
CMP la sortit de sa rêverie.
- Belle dame! Êtes vous cassée?
Elle n'eu pas le temps de répondre. Qu'elle fut aveuglé par une lumière mauve. Le baron ou du moins sont corps! Était là devant elle. Elle se releva avec hate et dégaina sont épée. CMP s'aggripa après sa jambe en tremblant.
- Non, non maitresse ne fait plus mal à ça marche pas! Pitié par prendre l'autre jambe.
Hurla le gobelins en pleurant.
- Humaine tu m'as impressioné en déjouant ma magie. J'ai regarder vers le futur en haut en bas à gauche et à droite. Et je sais que je dois t'aider ne serait ce que pour plus tard m'aider moi même.
Murmura l'oracle avec un sourir amusé sur le visage. Dehor les bruits de la bataille continuait. Les orcs serviteurs de la tour combattait les paysans en colère.
- J'était venus vous demander conseil. Ont m'avait dit que vous étiez le seul qui pouvait me dire comment arrêter la fin de notre monde. L'hiver semble éternel, les gens meurent. Les dieux restent muet au prières des hommes et des elfes. Que devons nous faire.
Répond Thuvia! Ne sachant si elle doit faire confiance à cette créature. CMP marmonne tout bas en goblenoide sont visage exprime la terreur.
- Je pourrais te dire qui est celui qui cause cela. Mais ça te serait inutile car seul du métal forgé d'un autre monde peut le vaincre. Il est en mon pouvoir de t'envoyer vers celui qui pourra te donner cette arme. Il se nomme Thael Evrhanna s'est un puissant archimage elfe. Il est beau puissant et extrêmement capricieux et orgeuilleux. Mais il me doit un service et je peut te téléporter dans le monde ou il habite.
Déclare l'oracle. La lueur mauve de sont regard s'intensifie quand il prononce le nom de l'elfe magicien.
- Puis je vous faire confiance?
répond Thuvia!
- Non mais je sais que tu accepte quand même cette mission. Et je sais aussi que tu veut ammenner cette loque humaine et ce petit tas de merde boiteuse.
Répond l'oracle. Juste avant que le monde soit noyé dans un tourbillon de lumière bleuté. Thuvia perd connaissance! La dernière chose qu'elle entend s'est la voix de Gelorn.
- Hein! Que ce passe t'il encore?
Quand le jeune femme ouvre les yeux. Elle rougit aussitôt car elle est entièrement nue. Plus de vêtements nis aucune armes! CMP et Gelorn sont inconscient. Et nue eux aussi, le lutin a même perdu sa jambe de bois.
Elle regarde autour d'elle et vois un monde fort étrange. Un ciel mauve un énorme soleil rouge, deux lunes. Et ils sont dans une sorte de jungle remplit de champignons géants et de plantes exotiques et étranges.
Elle voit plus loin un village peuplé d'indigène vêtue de pagne qui ressemble fort a des humains si ce n'est que leurs peau est verte et leurs yeux jaune. Il semble regarder dans leurs directions avec frayeur et certains lui font signe de les rejoindres. Comme si il était urgent qu'elle entre dans leurs village.
Thuvia se demande si tout cela n'est pas un mauvais tour de l'oracle. Au moment ou elle entend un rugissement terrible derrière eux. Gelorn s'éveille avec un air ahurit et CMP se met à hurler. Thuvia n'ose se retourner...
Thuvia toujours allonger sur Gelorn sourit. Être couché sur lui était toujours aussi confortable. Cette homme était charmant quand il dormait, mais quand il s'éveillait et parlait de sa voix pompeuse avec sont air "je sais tout" il devenait insuportable. Néanmois il était mignon se dit elle en le regardant évanouis.
CMP la sortit de sa rêverie.
- Belle dame! Êtes vous cassée?
Elle n'eu pas le temps de répondre. Qu'elle fut aveuglé par une lumière mauve. Le baron ou du moins sont corps! Était là devant elle. Elle se releva avec hate et dégaina sont épée. CMP s'aggripa après sa jambe en tremblant.
- Non, non maitresse ne fait plus mal à ça marche pas! Pitié par prendre l'autre jambe.
Hurla le gobelins en pleurant.
- Humaine tu m'as impressioné en déjouant ma magie. J'ai regarder vers le futur en haut en bas à gauche et à droite. Et je sais que je dois t'aider ne serait ce que pour plus tard m'aider moi même.
Murmura l'oracle avec un sourir amusé sur le visage. Dehor les bruits de la bataille continuait. Les orcs serviteurs de la tour combattait les paysans en colère.
- J'était venus vous demander conseil. Ont m'avait dit que vous étiez le seul qui pouvait me dire comment arrêter la fin de notre monde. L'hiver semble éternel, les gens meurent. Les dieux restent muet au prières des hommes et des elfes. Que devons nous faire.
Répond Thuvia! Ne sachant si elle doit faire confiance à cette créature. CMP marmonne tout bas en goblenoide sont visage exprime la terreur.
- Je pourrais te dire qui est celui qui cause cela. Mais ça te serait inutile car seul du métal forgé d'un autre monde peut le vaincre. Il est en mon pouvoir de t'envoyer vers celui qui pourra te donner cette arme. Il se nomme Thael Evrhanna s'est un puissant archimage elfe. Il est beau puissant et extrêmement capricieux et orgeuilleux. Mais il me doit un service et je peut te téléporter dans le monde ou il habite.
Déclare l'oracle. La lueur mauve de sont regard s'intensifie quand il prononce le nom de l'elfe magicien.
- Puis je vous faire confiance?
répond Thuvia!
- Non mais je sais que tu accepte quand même cette mission. Et je sais aussi que tu veut ammenner cette loque humaine et ce petit tas de merde boiteuse.
Répond l'oracle. Juste avant que le monde soit noyé dans un tourbillon de lumière bleuté. Thuvia perd connaissance! La dernière chose qu'elle entend s'est la voix de Gelorn.
- Hein! Que ce passe t'il encore?
Quand le jeune femme ouvre les yeux. Elle rougit aussitôt car elle est entièrement nue. Plus de vêtements nis aucune armes! CMP et Gelorn sont inconscient. Et nue eux aussi, le lutin a même perdu sa jambe de bois.
Elle regarde autour d'elle et vois un monde fort étrange. Un ciel mauve un énorme soleil rouge, deux lunes. Et ils sont dans une sorte de jungle remplit de champignons géants et de plantes exotiques et étranges.
Elle voit plus loin un village peuplé d'indigène vêtue de pagne qui ressemble fort a des humains si ce n'est que leurs peau est verte et leurs yeux jaune. Il semble regarder dans leurs directions avec frayeur et certains lui font signe de les rejoindres. Comme si il était urgent qu'elle entre dans leurs village.
Thuvia se demande si tout cela n'est pas un mauvais tour de l'oracle. Au moment ou elle entend un rugissement terrible derrière eux. Gelorn s'éveille avec un air ahurit et CMP se met à hurler. Thuvia n'ose se retourner...
Milles morts ne m'empêcheront pas de protéger les beautées de ce monde des forces du mal.
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par Malygris » Jeu Juil 08, 2004 8:54 pm
Moi je veut bien continuer! Mais j'ai écrit la dernière partie. Alors quelqu'un d'autres doit continuer.
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par Pingouin givré » Ven Juil 09, 2004 12:29 pm
Moi je veux bien continuer 
je vais essayer de me tripatouiller les méninges d'ici ce soir pour avoir un passage à peu près correct .
@++
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par Pingouin givré » Ven Juil 09, 2004 9:23 pm
Voici la suite promise : Bonne lecture
... car ce hurlement monstrueux lui glace le sang. Ne sachant trop quoi faire en cette situation ô combien embarrassante mais tout aussi dangereuse, L'amazone décide quand même de se retourner pour constater à qui ou à quoi elle a affaire avant de réagir.. Doucement, elle fait pivoter son corps puis incline sa tête vers l'endroit d'où provient ce cri bestial.
Mais elle se retrouve nez à nez avec une chose poilue qui n'a vraiment pas l'air amicale :
un corps humanoïde recouvert d'un pelage vert sombre, une tête rappelant vaguement celle d'un loup, le regard fou, le tout agrémenté de pattes griffues et d'une mâchoire pleine de crocs bien aiguisés dégoulinant de bave.
- Là on est mal, dit Thuvia tétanisée par la peur. Euh Gelorn, tu n'aurais pas de quoi charmer un bestiau pareil je suppose ? Parce que là si on fait rien, on est bon pour être son déjeuner...
Gelorn, avec vue imprenable sur le monstre et surtout les belles formes harmonieuses de Thuvia réponds alors :
- Tu en as de belle ! je suis un Rôdeur, pas un chaman. Et qui plus est sans equipement ! Quoique pour ta part question équipement tu en a de reste si j'ose dire et... ATTENTION THUVIA... A TERRE, crie soudain Gelorn.
Après un grognement avant coureur du bond de la chose poilue, Thuvia se jette à terre au signal de Gelorn In extremis... Mais la créature se retourne vers l'amazone qui semble être devenue un met de choix à la chair bien tendre.
Sans qu'elle puisse faire le moindre geste, la créature la charge alors qu'elle n'a pas encore eu le temps de se relever. Pendant ce temps, Gelorn et le lutin ne restent pas inactifs et.. préfèrent la fuite à affronter ce danger mortel.
Et c'est donc avec une lucidité effrayante que Thuvia voit ses derniers instants arriver : la voilà bloquée au sol incapable de bouger, totalement désarmée face à cet agresseur, les griffes plantées au sol et la gueule à l'haleine fétide se rapprochant dangereusementde son visage.
Elle attend alors le coup de grâce. qui prend la forme....d'une léchouille sur le visage ? pense Thuvia l'air médusée.
- Mais que ... ?
elle peut alors apercevoir son "homme-loup" éclater de rire à sa façon selon toute vraisemblance. Elargisssant sa gueule, il laisse entendre tout d'un coup un rire aussi guttural que sonore :
- RHAHAHAHA... tous les même ces voyageurs des autres plans : aucun humour !
Thuvia plus qu'étonné d'entendre ce monstre parler :
- Mais... vous parlez... et .. . tout à l'heure vous.... balbutie-t-elle.
- Je suis votre guide lors de votre passage dans ce plan. Je m'appelle Triskam. Et pour répondre d'avance à votre question muette, je fais parti d'une peuplade que l'on nomme les Reksgar.
Il lui jette alors sommairement un sac ou elle peut trouver quelques vêtements en toile et ajoute :
- Vous devriez rappeler vos amis : ils se dirigent vers des sables mouvants là...
Et le Reksgar éclate alors de rire en voyant Gelorn se démener avec le lutin qui s'est accroché à sa jambe droite, et qui l'empêche d'avancer. plus loin.
... car ce hurlement monstrueux lui glace le sang. Ne sachant trop quoi faire en cette situation ô combien embarrassante mais tout aussi dangereuse, L'amazone décide quand même de se retourner pour constater à qui ou à quoi elle a affaire avant de réagir.. Doucement, elle fait pivoter son corps puis incline sa tête vers l'endroit d'où provient ce cri bestial.
Mais elle se retrouve nez à nez avec une chose poilue qui n'a vraiment pas l'air amicale :
un corps humanoïde recouvert d'un pelage vert sombre, une tête rappelant vaguement celle d'un loup, le regard fou, le tout agrémenté de pattes griffues et d'une mâchoire pleine de crocs bien aiguisés dégoulinant de bave.
- Là on est mal, dit Thuvia tétanisée par la peur. Euh Gelorn, tu n'aurais pas de quoi charmer un bestiau pareil je suppose ? Parce que là si on fait rien, on est bon pour être son déjeuner...
Gelorn, avec vue imprenable sur le monstre et surtout les belles formes harmonieuses de Thuvia réponds alors :
- Tu en as de belle ! je suis un Rôdeur, pas un chaman. Et qui plus est sans equipement ! Quoique pour ta part question équipement tu en a de reste si j'ose dire et... ATTENTION THUVIA... A TERRE, crie soudain Gelorn.
Après un grognement avant coureur du bond de la chose poilue, Thuvia se jette à terre au signal de Gelorn In extremis... Mais la créature se retourne vers l'amazone qui semble être devenue un met de choix à la chair bien tendre.
Sans qu'elle puisse faire le moindre geste, la créature la charge alors qu'elle n'a pas encore eu le temps de se relever. Pendant ce temps, Gelorn et le lutin ne restent pas inactifs et.. préfèrent la fuite à affronter ce danger mortel.
Et c'est donc avec une lucidité effrayante que Thuvia voit ses derniers instants arriver : la voilà bloquée au sol incapable de bouger, totalement désarmée face à cet agresseur, les griffes plantées au sol et la gueule à l'haleine fétide se rapprochant dangereusementde son visage.
Elle attend alors le coup de grâce. qui prend la forme....d'une léchouille sur le visage ? pense Thuvia l'air médusée.
- Mais que ... ?
elle peut alors apercevoir son "homme-loup" éclater de rire à sa façon selon toute vraisemblance. Elargisssant sa gueule, il laisse entendre tout d'un coup un rire aussi guttural que sonore :
- RHAHAHAHA... tous les même ces voyageurs des autres plans : aucun humour !
Thuvia plus qu'étonné d'entendre ce monstre parler :
- Mais... vous parlez... et .. . tout à l'heure vous.... balbutie-t-elle.
- Je suis votre guide lors de votre passage dans ce plan. Je m'appelle Triskam. Et pour répondre d'avance à votre question muette, je fais parti d'une peuplade que l'on nomme les Reksgar.
Il lui jette alors sommairement un sac ou elle peut trouver quelques vêtements en toile et ajoute :
- Vous devriez rappeler vos amis : ils se dirigent vers des sables mouvants là...
Et le Reksgar éclate alors de rire en voyant Gelorn se démener avec le lutin qui s'est accroché à sa jambe droite, et qui l'empêche d'avancer. plus loin.
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par Malygris » Sam Juil 10, 2004 4:05 pm
Bonne suite Pinguoin! Si je vois dans un jours ou deux que personnes d'autres ne continue. Je ferai une suite.
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la suite ! la suite ! un volontaire ?
par Pingouin givré » Lun Juil 12, 2004 9:39 pm
n'y-at-il donc personne en ce bas monde qui n'a pas pitié de Gelorn, de Thuvia et de CMP perdus dans ce monde inconnu ? Qui sera donc assez vaillant pour les aider à se sortir de leurs ennuis et finir cette quête.
Une dizaine de lignes quoi.. c'est pas méchant : elles mordent pas
C'est pas comme Triskam
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par CaMarchePas » Mar Juil 13, 2004 6:50 pm
je lis ça ce soir et je verrai si j'ai l'inspiration pour une suite
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par CaMarchePas » Jeu Juil 15, 2004 8:18 pm
bah la suite est bien mais j'ai franchement pas d'inspiration là
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par Pingouin givré » Jeu Juil 22, 2004 8:59 pm
Je me permet de faire un chtit :up: car le pauvre topic est décendu en page deux
Et Si en plus les auteurs partent en vacances , mais où vat-on
Appel à tous les inspirés présents du moins : Aidez donc la joyeuse troupe à vaincre les méchants
Et Si en plus les auteurs partent en vacances , mais où vat-on
Appel à tous les inspirés présents du moins : Aidez donc la joyeuse troupe à vaincre les méchants
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par Chloé » Jeu Juil 22, 2004 9:18 pm
Ben pour l'instant et comme j'avais déconnecté 
, j'ai fait un copier-coller de vos écrits et je relis tout ça en corrigeant certaines erreurs - ça c'est plus pour moi - d'orthographe, de syntaxe et de logique...
Donc quand j'aurais fini (Comic sans MS 10, cela fait tout de même 14 pages - je dis -, j'y mettrais peut-être ma touche personnelle
, j'ai fait un copier-coller de vos écrits et je relis tout ça en corrigeant certaines erreurs - ça c'est plus pour moi - d'orthographe, de syntaxe et de logique...
Donc quand j'aurais fini (Comic sans MS 10, cela fait tout de même 14 pages - je dis
-, j'y mettrais peut-être ma touche personnelle - Chloé
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par Malygris » Jeu Juil 22, 2004 9:33 pm
Chloe44 a écrit:Ben pour l'instant et comme j'avais déconnecté
Donc quand j'aurais fini (Comic sans MS 10, cela fait tout de même 14 pages - je dis
Une petite correction ça ne fera pas de mal. Vagabond ma dit aussi qu'il allait continuer. Et après vos suites je m'y remet moi aussi.
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par Malygris » Ven Juil 23, 2004 8:21 pm
Bon cette fois j'y vais pour de vrai. En espérant que d'autres vont aussi ce décider ensuite.
- "Gelorn revient et ramène le lutin boiteux avec toi." Crie Thuvia en cherchant dans le sac des vêtements qui pourrait lui convenir.
- "Tu est folle ce loup garou vas nous manger!" Répond le ranger en essayant de dégagé le lutin de sa jambe.
- "Mais non s'est notre guide. Tu vois bien qu'il ne ma rien fait." Déclare Thuvia d'un ton exaspéré.
-"Sa prouve simplement qu'il attend que nous revenions pour tous nous manger. Regarde comme les indigènes verts ont peur de lui." Braye le ranger.
-"Mea culpa! Je l'avoue j'en ai croqué quelqu'uns de temps à autres. Mais il faut bien que je me nourisse. Mais je ne vous ferai rien! Sinon soyez sur que le mage au oreilles pointus me le ferai payé très chère." Répond l'homme loup avec un grand sourire qui dévoile bien toute ses dents.
Gelorn reviens vers Thuvia d'un pas incertains. Pendant ce temps Thuvia s'est vêtue d'un petit pagne court et d'une brassière assortie. Sont armure de cuir vas lui manquer mais vus la chaleur il vaut mieux être vêtue légèrement.
- "Gros chien pas manger CMP. Bon chien vas chercher!" Marmonne le lutin en lancant un batôn dans les marais.
- "Ils sont un peu bizzare vos amis." Dit l'homme loup à Thuvia en regardant Gelorn s'habiller et CMP qui cherche un baton de la bonne taille pour se faire une nouvelle jambe de bois.
- "Venant d'un loup garou ce genre de remarque me semble exagéré!" Répond Gelorn vexé!
- "Sa suffit il nous faut trouver des armes pour pouvoir nous défendre." Déclare Thuvia.
- "Allons ou village! Ils en ont peut être." Suggère Gelorn.
- "Je peut vous protéger. Et je ne vous conseille pas d'aller dans ce village. Répond l'homme loup. En se lèchant les babines.
- "Nous préfèrons pouvoir nous défendre seul. Gelorn et toi le lutin venez nous allons au village. Toi le loup attend nous ici je ne crois pas que les villagois veulent de toi chez eux. Ordonne Thuvia en se dirigant vers le village.
Gelorn et CMP la suivent, le lutin essai de nouveau de lancer un batôn pour le loup garou. Mais le rodeur lui donne une claque derrière la tête en lui fesant signe d'avancer.
En arrivant dans le villages les compagnons constatent qu'il est assez primitif. Les maisons ne sont que des tentes de pailles. Et les gens ne portent que des pailles et certains sont carrément nue.
Les indigènes les oberves avec curiosité. Et personne ne parle! Mais après quelques instant arrivent un colosse vêtue d'un casque à corne. Plusieurs jolie femmes verte le suivent. Il en désigne une qui avance vers le groupe.
Ensuite il désigne Thuvia et il dit
-"Grapa tok varrrr!"
-"Hein! Quoi?" Demande Thuvia
"Heu! Je crois qu'il veut t'échanger contre une de ses femmes une sorte de troc de bienvenue en sommes." Lui répond Gelorn.
- "QUOI! Dit lui que tu n'est pas intéresser" Hurle Thuvia
Gelorn montre Thuvia et fait signe que non. Et il croise les bras sur ça poitrine. L'indigène se met alors à hurler de colère. Et des hommes s'emparent de Gelorn et d'autres retiennent Thuvia d'intervenir. Sans armes ils ne peuvent pas ce défendre.
Gelorn est ammenné dans un cercle de pierre. Ou l'attend l'indigène au casque. Il porte une énorme massue en os et une semblable est remise à Gelorn. Qui est terrifié devant la montagne de muscles en colère qui est sont adversaire.
Thuvia ne peut que regarder le combat qui vas suivre impuissante car des indigène la retiennent fermement.
- "Essai de feinté et de l'épuisé!" Crie t'elle à Gelorn.
Pendant ce temps l'homme loup regarde le village et entend les bruits d'un combat qui débute. Il sourit de toute ses dents en se disant qu'il les avait bien prévenus.
- "Gelorn revient et ramène le lutin boiteux avec toi." Crie Thuvia en cherchant dans le sac des vêtements qui pourrait lui convenir.
- "Tu est folle ce loup garou vas nous manger!" Répond le ranger en essayant de dégagé le lutin de sa jambe.
- "Mais non s'est notre guide. Tu vois bien qu'il ne ma rien fait." Déclare Thuvia d'un ton exaspéré.
-"Sa prouve simplement qu'il attend que nous revenions pour tous nous manger. Regarde comme les indigènes verts ont peur de lui." Braye le ranger.
-"Mea culpa! Je l'avoue j'en ai croqué quelqu'uns de temps à autres. Mais il faut bien que je me nourisse. Mais je ne vous ferai rien! Sinon soyez sur que le mage au oreilles pointus me le ferai payé très chère." Répond l'homme loup avec un grand sourire qui dévoile bien toute ses dents.
Gelorn reviens vers Thuvia d'un pas incertains. Pendant ce temps Thuvia s'est vêtue d'un petit pagne court et d'une brassière assortie. Sont armure de cuir vas lui manquer mais vus la chaleur il vaut mieux être vêtue légèrement.
- "Gros chien pas manger CMP. Bon chien vas chercher!" Marmonne le lutin en lancant un batôn dans les marais.
- "Ils sont un peu bizzare vos amis." Dit l'homme loup à Thuvia en regardant Gelorn s'habiller et CMP qui cherche un baton de la bonne taille pour se faire une nouvelle jambe de bois.
- "Venant d'un loup garou ce genre de remarque me semble exagéré!" Répond Gelorn vexé!
- "Sa suffit il nous faut trouver des armes pour pouvoir nous défendre." Déclare Thuvia.
- "Allons ou village! Ils en ont peut être." Suggère Gelorn.
- "Je peut vous protéger. Et je ne vous conseille pas d'aller dans ce village. Répond l'homme loup. En se lèchant les babines.
- "Nous préfèrons pouvoir nous défendre seul. Gelorn et toi le lutin venez nous allons au village. Toi le loup attend nous ici je ne crois pas que les villagois veulent de toi chez eux. Ordonne Thuvia en se dirigant vers le village.
Gelorn et CMP la suivent, le lutin essai de nouveau de lancer un batôn pour le loup garou. Mais le rodeur lui donne une claque derrière la tête en lui fesant signe d'avancer.
En arrivant dans le villages les compagnons constatent qu'il est assez primitif. Les maisons ne sont que des tentes de pailles. Et les gens ne portent que des pailles et certains sont carrément nue.
Les indigènes les oberves avec curiosité. Et personne ne parle! Mais après quelques instant arrivent un colosse vêtue d'un casque à corne. Plusieurs jolie femmes verte le suivent. Il en désigne une qui avance vers le groupe.
Ensuite il désigne Thuvia et il dit
-"Grapa tok varrrr!"
-"Hein! Quoi?" Demande Thuvia
"Heu! Je crois qu'il veut t'échanger contre une de ses femmes une sorte de troc de bienvenue en sommes." Lui répond Gelorn.
- "QUOI! Dit lui que tu n'est pas intéresser" Hurle Thuvia
Gelorn montre Thuvia et fait signe que non. Et il croise les bras sur ça poitrine. L'indigène se met alors à hurler de colère. Et des hommes s'emparent de Gelorn et d'autres retiennent Thuvia d'intervenir. Sans armes ils ne peuvent pas ce défendre.
Gelorn est ammenné dans un cercle de pierre. Ou l'attend l'indigène au casque. Il porte une énorme massue en os et une semblable est remise à Gelorn. Qui est terrifié devant la montagne de muscles en colère qui est sont adversaire.
Thuvia ne peut que regarder le combat qui vas suivre impuissante car des indigène la retiennent fermement.
- "Essai de feinté et de l'épuisé!" Crie t'elle à Gelorn.
Pendant ce temps l'homme loup regarde le village et entend les bruits d'un combat qui débute. Il sourit de toute ses dents en se disant qu'il les avait bien prévenus.
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par Malygris » Jeu Juil 29, 2004 2:07 pm
Hé! Vagabond, CaMarchePas, Pingouin, Chloé et les autres... Là s'est votre tour. Personnes ne veut s'y coller???
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