GameGrob

Cher lecteur,mon histoire sera raconter par chapitre alors je vais vous conter l'histoire de Kaleas.
Je suis un guerrier et je maîtrise aussi la terre.

Prologue: Je suis un guerrier revenus des enfers avant j'était un puisssant soldat troyens, capitaine de la garde de la ville et fin stratège, j'avais lutter comme personne avant de tomber des mains d'Ajax, transpercé par sa lame. J'ai erré des années dans les Asphodèle des années et des années, jusqu'au jour où je fût convoqué par les juges des enfers. Rhadamante prit la parole et me dit que je devais retourner dans le monde des mortels pour sauver les dieux de la colère de créature revenus des ténèbres et d'une chose bien plus noir encore. Ils me conseillèrent d'allez voir Charon, il me donna une barque puis je m'éloigna des enfers.

Chapitre 1: Je me réveillas par terre, près d'un champ une dague à coté de moi je me sentais fatigué, je voyais un fleuve derrière moi et une barque celle que Charon m'avait fourni. J'entendis un homme venir dans ma direction il disait: Par pitié sauver ma jument c'est la seule chose qu'il me reste. Je lui que je vais l'aider puis je partit dans le petit champ situé a côté, je vit un sanglier, un énorme sanglier et deux satyre. Un des deux satyre me vit et chargea il n'était armé que d'un couteau comme moi. Il attaqua je para son coup, mais il me toucha au niveau de l'abdomen, je passa à l'attaque et je lui ficha mon couteau dans la poitrine, je retiras le couteau et le monstre s'écroula. Le deuxième satyre lui était équipé d'une armure de cuir et d'un javelot. Il passa à l'attaque son javelot passant juste à côté de mes côtes et me touchant au bras gauche, je lancis mon couteau et il figea dans l'un des défaults de l'armure. Je ramassis sa lance et son armure puis je transperca le sanglier l'enbrochant sur ma lance. Je revins vers l'homme et il me remercia, il me dit que son village était en danger. Je courus vers le village etje vit des satyres en train de se battre avec des gardes, je lancis mon javelot qui allat transpercer un satyre et se figea dans la poitrine d'un autre. Aeson le capitaine de la garde me remercia et il me dit d'aller voir Diomède le chef du village. J'alla le voir et il me dit qu'un chaman satyre tourmentait les hommes et qu'il empéchait les récoltes de pousser. J'alla chez le marchand d'arme, je vendis ma lance et mon petit couteau et acheta un magnifique glaive avec un bouclier, je me dirigea vers les champs tuant sanglier, satyre et corneille, je découvris un coffre et dedans il y avait des potions. J'entendis une voix qui me dit quel voie choisiras tu noble héros. Je dis que je veut être pyromancien. Mon arme s'enflamma tout d'un coup, mais elle ne brulait pas. Je me dirigea vers le satyre chaman et je combattit, il était faible et lancais des boules de feu au hasard, il me suffit de m'approcher et lui planter ma lame dans la cuisse pour qu'il s'enflamme et qu'il meurent. Je retournas au villagelà Diomède me félicita et me donna de l'argent, il me dit que je devais aller voir Léonidas le chef spartiate pour qu'il envoie des hommes à Hélos.

Dite moi si vous avez aimer

Dis, au passé simple les verbes du premier groupe, pour la première personne du singulier (Je pour les intimes), s'accordent par exemple comme ça : mangeai, regardai, frappai, etc. Bref avec AI à la fin et pas A.

Mis à part ça je te laisse continuer ton histoire.
Ah si, encore une petite chose : j'imagine que tu places tes signes de ponctuation au hasard. Normalement on ne fait pas comme ça. Mais chacun son style

A bientôt,
Grim

beau récit, je me demande cependant si tu as créé une nouvelle langue ou si le pluriel a disparu... Belle performance au niveau de la répétition des deux satyre dont un qui attaqua puis l'autre qui attaqua aussi...

Désolé le français c'est vraiment pas mon truc.

Ce n'est pas pour te blesser mais je te promet que ca ne te demande pas beaucoup d'effort de corriger ton texte. Le fait que tu le présentes aux autres membres devraient te motiver pour prendre ton courage à deux mains (et ton bescherelle) et à supprimer toute tes fautes.