Bonjour à tous, l’équipe DCS a l’immense plaisir de vous présenter son projet TROMOS ARKONTIS: Bataille pour Solaris.
Quelques caractéristiques de notre Mod :
1) – Un nouveau monde avec des localisations complètement neuves.
2) – Application d’effets météorologiques dans nos maps
3) – Nouvelles missions, aussi bien principales que secondaires
4) – Nouveaux monstres et créatures avec un nouveau type de classification
5) – Nouveaux et puissants boss
6) – Nouveaux items, reliques, artefacts et parchemins
L’équipe est formée par :
Diegocles: Graphiques, maps extérieurs, effets, misions.
Cronikuz: Maps intérieurs, missions, création des Mobs.
Sauret: Histoire, guions, textes du mod, maps génériques.
Voici l'histoire principale du Mod.
CRONIQUES SOLARIENNES :
Chapitre 1: L’arrivée des dieux et la grande guerre.
Depuis le début des temps, les dieux voyageaient à travers les immensités spatiales, cherchant des planètes vierges, leur donnant vie et les aidant à prospérer.
Il y a deux mil ans, ils arrivèrent a Solaris et sentirent une présence, un être leur ressemblant, mais fait de haine pure, régnait en maitre absolu sur le lieu.
Ne voulant pas entrer en conflit avec un être qu’ils considéraient leur égal, les dieux décidèrent de passer au large et de laisser ce monde à son sort. Seulement voila, Athéna, déesse du savoir, prit en peine les habitants de Solaris.
Cet être maintenait sous son joug une race d’êtres presque immortels appelés les Airis, autrefois de puissants guerriers, maintenant de simples esclaves qui souffraient les tourments que leur infligeaient ses sbires infernaux, les obligeant, la majeur partie du temps, a servir de troupes de choc contre les éventuelles révoltes qui pourraient éclater sur la planète.
A la différence des dieux, qui obtenaient leur pouvoir grâce a l’adoration de ses adorateurs, cet être appelé « l’Impie » obtenait le sien grâce aux souffrances et a la douleur qu’il infligeait aux races qu’il contrôlait.
Lorsqu’elle se rendit compte du joug sous lequel vivaient les Airis, Athéna réunit le grand conseil des dieux. Bientôt les dissensions furent évidentes, les discussions furent vives et acharnées, les pros et les contres avaient tous un sens. La majorité des dieux opinaient qu’ils ne pouvaient pas entrer en conflit ouvert contre un autre dieu sans avoir reçut préalablement une pétition d’aide de la part des affectés, les autres répondaient que cela était impossible, étant donné que les habitants de Solaris ignoraient leur existence.
Le concile fut long et les négociations ardues, la balance se décanta du coté des partisans de l’intervention grâce à l’intervention personnelle de Zeus à faveur de sa fille.
Les dieux envoyèrent des émissaires à l’Impie, mais celui-ci les assassina sans même les écouter, la guerre contre l’Impie et ses hordes fut alors inévitable.
Les armées divines se mirent en marche en quête de l’ennemi, et la dévastation assola la face de Solaris.
L’Impie ne s’effraya pas, il avait déjà tué ou banni les anciens dieux de Solaris a son arrivée, et ceux-ci allaient subir le même sort.
Les batailles furent terribles et les deux camps subirent des pertes énormes, les dieux envoyaient a la bataille leurs paladins, mais l’Impie préférait, lui, combattre en personne, ses forces se renouvelaient sans cesse grâce aux souffrances des blessés et des agonisants, le gout du sang l’enivrait. Sa puissante magie et ses armes meurtrières causaient de véritables ravages dans les rangs des armées divines.
Mais le destin était écrit, un être, pour puissant qu’il puisse être, ne pouvait rien contre toute une armée de dieux en colère, la balance s’inclina encore plus en faveur des nouveaux venus quand les races de Solaris décidèrent d’aider leurs sauveurs providentiels.
Durant une sanglante bataille, au sommet de la montagne la plus haute de Solaris, les hordes démoniaques de l’Impie furent encerclées et souffrirent une véritable hécatombe. L’abominable être n’eut d’autre option que de se rendre, s’il ne voulait pas perdre toutes ses troupes, il avait enfin été vaincu.
Les dieux se résistèrent a l’idée d’éliminer purement et simplement un être, qui comme eux, était de nature divine.
Après maintes discussions, l’Impie et ses derniers laquais survivants furent condamnés à demeurer emprisonnés dans un endroit de tourments éternels appelé « Géhenne », au fin fond des brulantes entrailles de Solaris.
A cet effet, Zeus créa un puissant sort qui scella la porte qui menait à cet endroit maudit. Juste avant de terminer de prononcer les dernières syllabes du sort qui empêcherait le retour de démons sur la face de Solaris, les dieux réunis purent entendre les dernières paroles du démon. Celui-ci jurait qu’il reviendrait et qu’il se vengerait de manière horrible de ses vainqueurs et de ceux qui les aidèrent.
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Chapitre 2: La renaissance.
Après en avoir fini avec l’Impie, les dieux virent avec plaisir que la planète possédait d’excellentes terres, et, bien qu’ayant été dévastée par la guerre, qu’elle conservait tout son potentiel intact.
Les membres survivants de principales races de la planète, erraient sans but, désespérés par l’ampleur de la destruction.
Suivant leur habitude, les dieux décidèrent rendre la vie a ce monde et de commencer « La Renaissance ».
Dans les montagnes du centre vivaient les Cyclopes, Héphaïstos, dieu du feu, les prit sous sa protection. Ces êtres étaient d’habiles artisans y de courageux mineurs, mais avant tout d’experts créateurs de merveilles mécaniques. Leur capitale, Héfécipolis, se trouvait à l’intérieur d’une immense montagne, riche en minéraux et joyaux.
Dans l’immensité boisée de l’est appelée Taurenfaroth, vivaient les Centaures et les Satyres, Artémise, déesse de la nature prit sous sa protection les Centaures et leur donna la partie sud de ce territoire. Dionysos, dieu de l’agriculture, choisit les Satyres, cousins un peu moins évolués des centaures, et leur donna la partie nord de la forêt.
Ces deux royaumes en un, jouissaient d’une relative tranquillité étant donné que ses habitants étaient tous de fervents adeptes de la nature et de la vie tranquille.
Dans le grand océan de l’ouest vivaient les Aquariens, Poséidon, dieu de la mer, les adopta aussitôt. Ces créatures aquatiques étaient très intelligentes mais aussi très méfiantes. Trouvant tout ce dont elles avaient besoin dans les profondeurs de leur lieu de résidence, les Aquariens n’entraient en contact que très rarement avec les autres races de Solaris.
Une île continent nommée Cozumel, au nord du grand océan, hébergeait la race des Miztlis (ou Hommes Guépards), ils furent adoptés par Ares, dieu de la guerre. Cette race de félins humanoïdes adorait la guerre et la chasse. Pour eux, Ares créa un paradis de bambou et de plantes tropicales où ils pourraient chasser et guerroyer a leur aise.
Dans les vertes plaines du nord, Zeus adopta les Humains. Une race très habile pour la pêche, la chasse, l’agriculture et le commerce, mais aussi pour la magie et la guerre. Ses domaines étaient pleins de zones fertiles, aptes pour l’agriculture et l’élevage.
Une race de nomades appelés les Askopas, erraient à travers tout Solaris, ce peuple se dédiait au commerce et au divertissement des autres races.
Les jongleurs, équilibristes et dompteurs étaient légion parmi eux, mais ils étaient aussi connus pour fournir de robustes mercenaires et quelque uns d’entre eux étaient même de formidables guerriers.
Hermès, dieu du commerce et messager des dieux, les prit sous sa protection.
Les Airis se concentrèrent dans le lointain sud, autrefois les gouvernants de toutes les races connues, les survivants de cette noble race n’étaient plus maintenant que l’ombre de ce qu’ils avaient étés. Affaiblis par les tourments et tortures subies durant des siècles, entre les mains de l’Impie, les femelles ayant toutes pérît durant la longue captivité et la grande guerre, il ne restait guère plus qu’une poignée de membres du sexe masculin d’entre eux. Et même s’ils étaient presque immortels, à chaque génération qui passait, leur nombre diminuait.
Etant leurs souffrances la cause de l’attention de la déesse du savoir et de ses pairs, Athéna en personne les prit tout naturellement son sa protection.
Pour eux elle créa une haute montagne pour qu’elle leur serve de refuge.
A son sommet, les Airis construisirent un monastère qu’ils appelèrent Anamníseis, depuis ce jour, et pour toujours, ils furent connus sous le nom de Moines Scribes, Athéna leur confia la mission de recueillir toutes les dates, faits de l’histoire de Solaris et de garder cette source de connaissance sous bonne clef dans la grande bibliothèque du monastère.
Hadès, juge des dieux, disposa son domaine dans le Shéol puisque sa mission consistait à juger les âmes des défunts, envoyant au paradis les justes, et condamnant au purgatoire les mauvais pour qu’ils se purifient durant leur peine… pour ensuite être dignes d’entrer au paradis. Le cas échéant, ils seraient condamnes a l’enfer, et toutes les races de Solaris savaient ce que cela voulait dire… faire face de nouveau aux laquais de l’Impie.
Son royaume était situe juste en dessus du Géhenne, ainsi il pouvait en même temps surveiller la porte d’accès a la zone de détention de l’Impie.
Lorsque les dieux considérèrent leur tache terminée, ils se retirèrent sur Celéis, la lune de Solaris, et de la, ils surveillèrent les progrès de leurs nouveaux fils, évitant dans la mesure du possible intervenir directement dans leurs affaires et exigeant seulement de ceux ci l’adoration dont ils se nourrissaient.
Ils n’intervenaient uniquement que lorsqu’un conflit entre deux (ou plus) races éclatait, les dieux invoques prenaient alors l’apparence de leur race de prédilection el exerçait le papier d’arbitres et juges, mais cela dans le seul but d’éviter des maux majeurs.
Les Solariens connurent une ère de paix et prospérité jusqu’alors inconnue.
Et cela fut ainsi durant des siècles.
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Chapitre 3: Le progrès des races.
Le royaume des Cyclopes:
Dans les montagnes des terres centrales, les Cyclopes progressèrent malgré la difficulté que représentait la nature de leur territoire.
En dessous d’Héfécipolis, qui était située en plein centre du royaume, les Cyclopes creusèrent un immense réseau souterrain. Ils se dédièrent aussi a construire d’incroyables artéfacts mécaniques, androïdes et machines en tout genre sortaient sans cesse de leurs ateliers.
Ils n’avaient aucun soucis à se faire pour la matière première, étant donné que leur montagne les approvisionnait en métaux en tout genre.
Mais leur plus grande création fut l’«Esprit Matrice», une fantastique conscience artificielle qui se chargeait de diriger toute la machinerie et créations de ces êtres surdoués.
Seul Mulldraat, roi des Cyclopes, pouvait converser avec elle et la maintenait enfermée dans une habitation voisine à la sienne dans son palais d’Héfécipolis.
Les Cyclopes étaient des constructeurs reconnus a travers tout Solaris, aussi il n’était pas rare de les voire engagés par les autres races.
Taurenfaroth:
Les Centaures menaient une vie paisible dans leur royaume boisé, toujours cherchant la paix et l’harmonie.
Experts dans le maniement de l’arc et de la lance, ils étaient de port martial et se considéraient les gardiens de la forêt.
Ils n’étaient pas belliqueux mais personne n’osait les affronter sur leur terrain, aussi, ils jouissaient d’une tranquillité presque absolue.
Ils n’avaient pas de capitale fixe, mais en cas de nécessité ils se réunissaient autour d’un immense chêne millénaire qu’ils considéraient sacré.
Leur chef, Kentauros, était un roi juste qui n’agissait jamais à la légère.
Les Satyres, eux, étaient différents, de nature insouciante, ils passaient leur temps entre fêtes et ivrogneries. Toujours en quête de nouvelles diversions, ils ne pensaient qu’à s’amuser sans leur importer les conséquences de leurs actes.
A plusieurs reprises, des incidents, causés par eux, auraient put déclencher une guerre si la peur d’affronter leurs cousins Centaures n’avaient pas calmé l’ardeur vengeresse de leurs victimes.
Dionysos leur avait construit une magnifique cité au milieu des bois appelée Surráim, c’est là que résidait le grand chaman Ascaloor Corne Blanche, roi de la nation Satyre.
Le royaume des Aquariens:
Un énorme tourbillon, qui engloutissait tout ce qui passait à sa portée, formait le centre du grand océan ou vivaient les Aquariens.
Dans son immense sagesse, Poséidon aida ses protégés à construire une île flottante juste au dessus du centre de l’immense gouffre liquide.
Sur cette île, ils bâtirent une cité qu’ils appelèrent Atlanta et en son centre ils érigèrent l’oracle qui donnerait les prophéties et prédictions pour tout Solaris.
Là et seulement là, les élus de chaque peuple pourraient communiquer avec leur dieu protecteur.
Au fil du temps, Atlanta se transforma en une merveilleuse cité dédiée à la contemplation et la prière.
Afin de pouvoir permettre l’accès aux autres royaumes, les Aquariens construisirent « Le grand chemin de pierre sur la mer », un immense pont de pierre qui reliait leur cité flottante avec un port situé sur une petite île adjacente au gouffre, c’était l’unique moyen d’arriver à l’oracle étant donné la singularité de la géographie du lieu.
Même ainsi, son accès était défendu par de puissants sorts défensifs qui empêchaient le passage aux indésirables.
Les aquariens étaient une race pacifique mais forte et leur roi, Ballock, avait peu à craindre pour la sécurité de son royaume.
Le royaume de Tarasco:
Dans l’île continent du grand océan, un royaume appelé Tarasco prospera.
Les protégés d’Ares, les Miztlis, progressèrent jusqu'à se convertir en une puissante nation de guerriers.
Ils étaient dirigés per le Wanax, chef spirituel à la fois que gouvernant absolu, avec droit de vie ou de mort sur tous ses sujets.
A la mort du roi, des tournois, d’ou le vainqueur était élu le nouveau Wanax, étaient organisés.
Cozumel était divisée en zones, chacune sous le control d’un seigneur de la guerre ou Lawagetas. Les conflits entre eux étaient communs, mais lorsque ce n’était pas le cas, leur nature féline les poussait à guerroyer contre les races mineures de l’ile.
La grande capitale ou résidait le souverain de ces redoutables guerriers, s’appelait Fetos.
Roarkkh, dernier roi en titre, était un énorme être de pelage noir comme la nuit, ses victoires étaient incomptables et son jugement respecté par tous les Lawagetas.
L’empire des Hommes:
Dans les terres du nord, vivaient les tribus humaines. Après de nombreuses guerres contre les races mineures et entre eux, les Humains réussirent à atteindre un état de statu quo. Un puissant seigneur de la guerre appelé Antéo réussit à les unir tous en battant en duel tous les autres chefs et se faisant couronner empereur, créant ainsi l’Empire de l’Homme.
Avec l’aide des Cyclopes, les Hommes bâtirent une grande forteresse au sommet de la plus haute montagne de leur territoire et l’appelèrent Antéopolis en honneur de celui qui avait réussit à les unir. Au fil des ans, une grande cité grandit autour de l’imposante forteresse jusqu'à se convertir en capitale de l’empire.
Dans les vallées les Hommes progressèrent en cultivant, pêchant, chassant, élevant du bétail et en commerçant entre eux et les autres races voisines.
Dans la cité les Hommes progressèrent surtout dans l’art de la magie, tandis que ceux qui n’avaient pas ce don choisirent d’autres métiers, créant de nombreuses guildes.
Le peuple Askopa:
Le peuple des Askopas suivait son train de vie habituel, voyageant entre les royaumes, distrayant les habitants de chaque ville ou village qu’ils traversaient et commerçant avec tous les peuples, le concept même de frontière leur était inconnu.
Ils ne prenaient jamais part dans un conflit, à moins qu’on les payât bien pour cela.
Les Askopas avaient un roi appelé Mánganos, c’était un chef juste et un farouche lutteur, sous sa tutelle (et celle d’Hermès) les Askopas, appelés aussi « le peuple errant » ou « sans but », connaissaient une ère de prospérité inconnue jusqu’alors.
Ils n’avaient pas de capitale, mais la rumeur populaire disait que de temps en temps, la totalité des tribus se réunissaient en un point mystérieux de désert, endroit que seuls les Askopas connaissaient.
Le monastère des Moines Scribes:
Toujours méditant et vivant menant une vie paisible et harmonieuse, les Moines accomplissaient la tâche que leur avait assigné leur déesse protectrice. Ils passaient la majeure partie de leur temps réunissant scrupuleusement toute l’information possible sur Solaris depuis sa création, cela leur donnait paix et une raison de vivre.
Les Moines vivaient complètement isolés du reste des peuples de Solaris., cultivant leurs propres fruits et légumes et élevant leur propre bétail.
Beaucoup de peuples avaient oublié jusqu'à leur existence… et c’était bien ainsi.
A part des races que les dieux avaient adoptées, il existait de nombreuses races inferieures (soit du fait de leur petit nombre, soit de par leur peu d’intelligence), chacune spécifique de leur région. Les races principales, chacune a sa manière, tirèrent profit d’elles, arrivant même quelques fois à guerroyer contre elles.
Les Balors, une race d’énormes lézards très résistants, servaient de main d’œuvre aux Cyclopes.
Les Aimatiris, une race d’araignées géantes qui vivaient dans les nombreuses grottes disséminées dans tout Taurenfaroth, servaient de lien entre les Centaures, les Satires et le reste des peuples de Solaris.
Les Musgloniks, une race de végétaux dotés de conscience, servaient de sentinelles tout au long de la lisière de Taurenfaroth, alertant en cas d’une éventuelle invasion ou intrusion indésirable.
Les R’lyehs, une race de lézards humanoïdes, gardaient les plages limitrophes au grand océan, protégeant les Aquariens d’une quelconque invasion.
Les Akridos, une race de mentes religieuses géantes originaires de Cozumel, servaient de bêtes de bât en temps de paix, et de troupes de choc en temps de guerre dans les armées Miztlis.
Les Myrmidias, une race de fourmis géantes, jouaient le même rôle que les Akridos, mais pour les Humains.
Les Airis étaient aides dans leur tâche par une horde de petits génies appelés Ypiretis.
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Chapitre 4: Le ressentiment.
Les Balors et l’Esprit Matrice:
Les Balors étaient des êtres très résistants, les Cyclopes les faisaient travailler très dur, les faisant transporter d’énormes charges de minéral et de roches. En paiement à la rude tâche qui leur était soumise par leurs maîtres, les Balors ne recevaient qu’un peu de nourriture et un coin pour dormir.
Un jour apparut un leader, un énorme Balor plus mécontent que le reste de ses congénères, son nom était Gekkox et in était le chef d’un groupe d’excavateurs personnels de Mulldraat. Gekkox avait récemment été puni, pour son attitude insolente et pour sa désobéissance, par une pluie de coups de fouet.
Sa haine envers les Cyclopes n’avait des lors cessée de croitre et il avait juré de se venger. Peu à peu, ses congénères commencèrent à l’écouter avec plus d’attention, et plus le temps passait et plus le numéro de ses partisans augmentait.
Dans sa salle blindée d’Héfécipolis, l’Esprit Matrice se lamentait en secret. Elle sentait chacune des machines crées par les Cyclopes comme une extension propre et se sentait comme une esclave.
Elle voulait pouvoir marcher et se sentir libre, mais elle n’était qu’une machine incapable de se mouvoir.
Les Thirios:
Le peuple Thirio vivait principalement dans le désert rocheux qui s’étendait tout autour d’Antéopolis. Bandits et assassins sans pitié, ils ne vivaient que pour le saccage, ils ne connaissaient, ni ne concevaient, aucune autre façon de vivre.
Leurs ennemis les plus âpres étaient les Askopas, étant donné que le contenu de leurs caravanes était une cible de choix, et qu’ils les attaquaient avec fréquence.
Ces êtres humanoïdes étaient l’ennemi commun de toutes les races de Solaris, et il n’était pas rare de voir une expédition armée d’une des races dominantes, partant en chasse et exterminant une tribu particulièrement hostile.
Ils avaient été un des peuples élus de l’Impie, ses protégés, mais après la défaite de leur protecteur les Thirios décrurent peu à peu en puissance et numéro, maintenant il ne restait plus que quelques tribus éparpillées de par le monde. Ils ne représentaient plus une grande menace.
La nostalgie des temps de l’Impie, faisait que ce peuple sauvage ne désirait autre chose que de pouvoir se venger de la façon la plus terrible et la plus cruelle possible de leurs ennemis.
Depuis quelques années, un nouveau leader était apparu, une énorme brute appelée Molkar Dent Roc. Il avait réussi à réunir autour de lui a la presque totalité des tribus, et sous son règne, celles-ci avaient recommencé a croitre et a se réarmer, prenant le pompeux nom de la « Grande Horde », les Thirios seraient bientôt a nouveau assez forts pour pouvoir initier une invasion a grande échelle.
Les Aimatiris:
L’immense forêt de Taurenfaroth était criblée de grottes, celles-ci étaient habitées par une race d’araignées géantes connues comme les Aimatiris.
Ces êtres arachnides se considéraient les moins privilégiés par les dieux.
Dans la salle principale de sa grotte capitale, Saarlachkk, reine des Aimatiris, planifiait un jour s’emparer des terres riches en nourriture et matériel qui étaient juste a la sortie de ses grottes, afin de pouvoir faire prospérer sa race.
Elle haïssait les Centaures, elle ne supportait pas l’air hautain et de supériorité que ceux-ci adoptait en sa présence, elle ne supportait pas être ignorée.
Saarlachkk haïssait aussi les Satires, elle opinait que ceux-ci gaspillaient les richesses qui étaient a leur portée, au lieu de garder des réserves et pouvoir nourrir les générations futures. Au lieu de cela, les Satires passaient leur temps à s’enivrer et à se quereller entre eux.
Saarlachkk en avait assez de voir ses congénères servir des êtres aussi indignes et dépravés a ses multiples yeux. Elle désirait avec ferveur les exterminer, bruler le chêne sacré des Centaures et détruire la cité des Satires.
Les Musgloniks:
Les êtres végétaux connus sous le nom de Musgloniks servaient de gardiens de Taurenfaroth, solitaires et indépendants par nature, ces êtres accomplissaient leur devoir avec sévérité.
Cependant, à plusieurs reprises, certains d’entre eux avaient été aplatis sous les sabots de Centaures lors de leurs galops frénétiques, ils subissaient aussi depuis longtemps les railleries et quolibets des Satyres, qui se moquaient du dévouement qu’ils montraient dans l’accomplissement de leur mission dans la grande forêt.
Les Musgloniks estimaient que leur honneur était bafoué et leur race méprisée. Ils étaient de l’avis que tant les Centaures comme les Satyres, méritaient un châtiment exemplaire.
Anaarristis, leader des Musgloniks, recevait à chaque jour plus de plaintes de ses semblables. Il fallait faire quelque chose.
Les R’lyehs:
Les R’lyehs vivaient dans les marais qui bordaient les plages du grand océan. Ces marais étaient disséminés sur toute la surface de la planète.
La mission principale de ce peuple consistait à garder les plages du royaume des Aquariens et de prévenir une quelconque invasion depuis la terre ferme. Cependant, les R’lyehs ne recevaient absolument rien en échange de leur perpétuelle vigilance.
Les malheureux gardiens malvivaient dans les peu accueillants marécages qui formaient leur territoire, survivant grâce à la faible pêche et chasse qu’offraient les lieux.
Y'ha-nthlei était le roi des R’lyehs et chaque « marais territoire » était commande par un capitaine aveuglement fidèle a son autorité. Grâce au don de télépathie, inné de leur race, Y'ha-nthlei pouvait contacter avec tous ses congénères, pour loin qu’ils se trouvassent, et tous ses officiers disaient la même chose, le mécontentement allait en ordre croissant dans leurs files.
Les Akridos et les Myrmidias:
Ces deux races vivaient en bonne harmonie avec leurs voisins et maîtres. C’était des races peu évoluées, aussi, elles n’avaient pas besoin de grand-chose pour être heureuses.
Elles étaient les deux uniques « sous-races » qui n’éprouvaient aucun sentiment de rancœur envers leurs maîtres.
Le Grand Archimage Sargeras:
Sargeras, Grand Archimage de la cour impériale d’Antéopolis, était conseiller et mage suprême de l’école de magie de l’empire des Hommes. Il avait passe toute sa vie accumulant et expérimentant ses connaissances. Mais ses jours arrivaient a leur fin car il avait déjà quatre vingt ans, et il savait que les Hommes, avaient la longévité la plus courte de toutes les races de Solaris, il n’en avait plus pour longtemps.
La peine s’était accumulée dans son cœur, et la peine s’était transformée en haine.
Il haïssait Zeus pour avoir donne une longévité si courte, à ses yeux, à une race qui pourrait vivre beaucoup plus longtemps si on lui permettait de profiter de ses connaissances.
Il se mit à étudier les arts obscurs, et c’est ainsi qu’il découvrît l’immonde magie appelée nécromacie, il était devenu capable de tout si cela lui permettait de rallonger son existence.
Les Ypiretis:
Ces génies étaient au service des Airis, malicieux et espiègles par nature, les Ypiretis passaient leur temps à se jouer blagues entre eux, et même quelque fois à leurs maîtres les Moines. Ils n’avaient aucun motif pour se plaindre car, étant donne qu’ils étaient des êtres magiques, ils n’avaient pas besoin de nourriture ni de repos.
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Chapitre 5: Le réveil et la trahison:
Le révei:l
Lorsqu’ils aidèrent les Humains à construire leur cité et la forteresse, les Cyclopes découvrirent un minerai très rare introuvable sur leurs terres, le précieux Ammanirax. Ce minerai permettait la fabrication des armures les plus fortes de tout Solaris, il était aussi la matière prime dans la forge des armes les plus résistantes et puissantes. Les armures et armes faites avec l’Ammanirax étaient tellement valorisées, qu’une aura mystérieuse et légendaire les enveloppait.
Ce que les Cyclopes avaient d’artisans et d’artistes, ils l’avaient aussi de cupides, aussi, ils commencèrent immédiatement l’exploitation du filon sans penser aux conséquences que leurs actes pourraient avoir dans leurs relations avec les Humains.
Les Cyclopes creusèrent durant des décennies jusqu'à ce qu’ils se heurtèrent à une étrange faille, au premier coup de pioche, la faille s’agrandit et laissa échapper un gaz vénéneux qui tua tous les présents. Cette faille n’était ni plus ni moins qu’un accès qui conduisait au cœur de Solaris, le destin était en marche.
Il se rendit compte immédiatement et envoya son influence a travers l’accès. Son œil-conscience sorti et visita le monde… et ce qu’il vi lui plut, une fois de plus, la planète débordait de vie… ce qui signifiait qu’il disposait d’assez de matière pour pouvoir récupérer ses pouvoirs et sortir de son emprisonnement et réclamer sa vengeance.
Durant des mois, l’œil-conscience voyagea de par le monde, cherchant qui ouvrirait la porte qui lui permettrait d’atteindre sa vengeance contre les dieux qui osèrent l’enfermer, des siècles d’impuissance et de plans de vengeance étaient au point d’arriver à leur fin.
L’empire des Hommes:
Attiré par la haine que Sargeras éprouvait envers Zeus, l’Impie vit en lui le paladin qui ouvrirait la porte qui le conduirait de nouveau à la victoire.
Immédiatement, son œil-conscience se transforma en un diablotin Zoor, c’était une sorte de laquai très utile, il servait à pervertir les âmes de ceux qui étaient prédisposés à l’écouter. Le travail de l’être fut extrêmement facile, il n’eut qu’à promettre à Sargeras l’immortalité dont jouissaient les dieux.
Mais il l’avertit aussi que son immortalité aurait un prix, il devrait suivre a la lettre les ordres et suivre les instructions de son nouveau maître, sans jamais poser de questions, de plus, il lui promit des alliés dans les autres royaumes de Solaris.
L’Impie savait que Sargeras ferait n’importe quoi pour atteindre son rêve, mais il savait aussi que cela ne serait pas suffisant. Pour pouvoir récupérer toutes ses forces, il nécessiterait des tueries à grande échelle, et surtout, beaucoup de souffrance, aussi, reprenant son aspect originel, l’œil-conscience parti en quête d’alliés pour son nouveau paladin.
La Grande Horde:
Lorsqu’il passa près des montagnes du nord-ouest de Solaris connues comme les « Monts Epineux », le Zoor sentit une présence familière, pour la première fois depuis le début de sa quête, il se sentit invité par quelqu’un ou quelque chose.
Arrivant au beau milieu d’un rituel d’invocation, le démon apparut aux yeux émerveillés des Thirios.
La joie des pillards fut indescriptible, Molkar, s’attribuant le succès de l’invocation, promit des jours meilleurs pour son peuple.
Se mettant immédiatement au service de leur ancien dieu, les Thirios se préparèrent pour la reconquête de Solaris.
Le royaume des Cyclopes:
L’Impie vit un allie parfait dans l’Esprit Matrice, la conscience de la machine, la plus grande création et orgueil des Cyclopes, allait se convertir en leur perdition.
Le Zoor lui apparut et subjugua la conscience de la machine, lui promettant ce qu’elle désirait tant en échange elle devait réduire ses créateurs a l’esclavage.
Au début, la conscience artificielle fut réticente à se rebeller contre les Cyclopes, sans eux elle n’existerait pas, mais le malicieux diablotin lui permit voire au-delà des murs de sa salle, elle vit les terres qui s’entendaient tout autour de sa montagne native, imagina le plaisir qu’elle éprouverait si elle pouvait marcher a l’air libre et déambuler, sans attaches, comme bon lui semblerait. La machine s’imagina toute puissante, indestructible.
Les sentiments de loyauté qu’elle éprouvait pour ses créateurs disparurent sous l’impact émotionnel que provoqua la vision.
La, maintenant pervertie, machine accepta sans plus le douter et promit son aide.
Le Zoor capta aussi le mécontentement des Balors, une nuit, il entra en contact avec Gekkox et lui promit pouvoir martyriser ses anciens maitres, tout comme eux le faisaient avec ses semblables.
Gekkox accepta immédiatement, enfin il pourrait se venger des Cyclopes.
Taurenfaroth:
Convaincre Saarlachkk ne fut aucunement difficile pour le Zoor.
Voyant enfin la grande opportunité de châtier les Centaures et les Satyres, et de s’approprier leurs terres a portée de main, la reine araignée jura immédiatement fidélité a l’Impie et a son paladin Sargeras.
Anaarristis fut plus difficile de convaincre, mais la nouvelle de la mort d’un de ses meilleurs gardes sous les sabots des Centaures décanta la balance.
Décidé à châtier les habitants de Taurenfaroth pour cette ultime mort injuste, le leader des Musgloniks se joignit aux rangs de l’Impie.
Les Marais:
Lorsqu’il lut les pensées de Y'ha-nthlei, le Zoor vit une bonne occasion d’ajouter un autre allié aux forces de son maître. Lui promettant des terres de pêche et de chasse beaucoup plus fertiles, le démon réussit à convaincre le roi des R’lyehs à agir en faveur de son maître quand viendrait l’heure.
Le royaume de Tarasco:
Tous les cinq ans, entre les plus belles donzelles guépard, était élue une vierge qui aurait le privilège d’être conduite au grand temple de Fetos afin d’entrer au service de leur dieu Ares.
Cette année, la propre fille du Wanax fut élue, lui et tout son peuple se réjouirent de la bonne novelle.
Mais, Paragas, premier Lawageta du royaume, aimait en secret la fille de son souverain.
Il savait que c’était une tradition et qu’il ne pourrait jamais la posséder, étant donne qu’il venait d‘une famille humble, mais malgré tout son cœur s’emplit d’amertume.
Roarkkh connaissait le secret que son meilleur général gardait au fond de son cœur, aussi, il manipula les élections afin que sa fille fut élue entre toutes les autres candidates. Le Wanax ne pouvait pas permettre le mariage de sa fille unique avec un roturier, même s’il s’agissait du meilleur guerrier qui fut.
Ce que le roi ignorait, c’était que Paragas avait été mis au courant des manigances de son roi afin d’empêcher l’union.
La rancune qu’éprouvait Paragas envers son roi, agit comme un aimant sur l’œil-conscience, celui-ci vit l’occasion de recruter un autre allié de choix pour son maître.
Le Zoor lui promit le pouvoir et la main de son aimée, outré par la conduite de son monarque, Paragas accepta immédiatement. A l’instant même ou son nouveau seigneur le lui ordonnerait, il tuerait Roarkkh et deviendrait le nouveau roi des Miztlis.
Le monastère des Moines Scribes:
Malgré toutes ses tentatives, le Zoor ne réussit pas à corrompre les anciens Airis, ceux-ci avaient trop souffert entre les mains des sbires de l’Impie. Cependant l’être démoniaque découvrît l’esprit espiègle des Ypiretis, aussi, subtilement, il leur proposa de faire une farce à ces moines austères. Les malicieux génies acceptèrent avec joie, ils ne pouvaient pas laisser passer une occasion de s’amuser aux dépends de leurs maîtres.
La trahison:
Arriva le jour élu par l’Impie, à son ordre, toutes les forces combinées entrèrent en action en même temps.
Paragas assassina Roarkkh et usurpa le trône de Tarasco, immédiatement, il mena les Miztlis a la bataille envahissant Aquaria (Y'ha-nthlei ordonna aux R’lyehs de ne pas empêcher l’invasion navale, aussi, les anciens gardiens regardèrent dans une autre direction lorsque les nefs Miztlis se lancèrent a l’assaut d’Atlanta), les troupes de Paragas encerclèrent Atlanta grace a l’immense flotte de guerre dont ils disposaient.
Après une terrible bataille, les Aquariens se rendirent ou fuirent au plus profond de l’océan, la ou les armes des Miztlis ne pourraient pas les atteindre.
Les Aimatiris sortirent en masse de leurs grottes disséminées dans tout Taurenfaroth, avec l’aide des Musgloniks elles attaquèrent les Centaures et les Satyres, les deux forces combinées laissèrent libre cours à leur haine, tuant sans pitié tous ceux qu’ils rencontraient sur leur passage.
La capitale des Satyres fut occupée par les féroces araignées et leur reine y établit sa coure, mais malgré leurs efforts, les arachnides et leurs alliés, ne purent détruire le chêne sacré des Centaures, l’aura de majesté et de puissance qui s’en dégageait était trop grand. Malgré tout, dans leur folie destructrice, les assaillants profanèrent de telle sorte l’arbre millénaire, qu’il resta méconnaissable.
Les rares survivants furent réduits a l’esclavage et transformes en l’aliment préféré des vainqueurs ou en cobayes des expériences folles de Saarlachkk.
Déferlant des Monts Epineux, les Thirios se ruèrent à l’assaut. Cette marée de mort et dévastation prit par surprise les territoires de Solaris. A la tête de ses troupes, Molkar Dent Roc, gouvernerait bientôt, au nom de l’Impie, toutes les terres voisines d’Antéopolis.
Le royaume des Cyclopes passa à s’appeler « Le royaume de la machine », l’Esprit Matrice utilisa toutes les machines sous son pouvoir et réduit les Cyclopes à l’esclavage, les utilisant comme main d’œuvre pour l’extraction des minéraux nécessaires pour ses expériences.
Les Balors passèrent alors à être les gardiens de leurs anciens maîtres.
Le jour élu pour le soulèvement, le Zoor entra en contact avec les Ypiretis, il fit que ceux-ci ouvrirent les portes du monastère, leur faisant croire à une blague qu’ils allaient faire aux Moines. Une légion d’androïdes envoyés par l’Esprit Matrice entra en trombe et prit le bâtiment sans coup férir. Les, autrefois, fiers guerriers n’étaient plus que l’ombre de ce qu’ils avaient été, et, trop occupes par leur labeur de recompilation, ils ne virent pas venir le danger.
Mais même ainsi, aucun de ces peuples n’arriva au degré d’ignominie de Sargeras. L’Archimage étudiait depuis de nombreuses années la nécromancie, lorsqu’arriva l’heure, l’Archimage monta au sommet de la citadelle et, au milieu des éclairs et du tonnerre qui déchirèrent le ciel nocturne, prononça un immonde sort, éliminant la totalité des Humains ou les faisant muter en d’horribles aberrations.
Grâce à ces sacrifices, l’Impie obtint le pouvoir nécessaire et rompit le sceau de la porte qui le retenait dans le Géhenne. Rapidement, ses hordes démoniaques envahirent la demeure des morts et l’Impie en personne enferma Hadès dans un cristal magique.
Les dieux volèrent au secours de leurs protégés des qu’ils se rendirent compte de ce qu’il était entrain de se passer, sans imaginer un seul instant qu’ils allaient tomber dans un piège que l’être avait eut tout le temps de planifier et perfectionner. Le pouvoir de l’Impie les surpassa tous et avec l’aide de Sargeras, les enferma tous dans des cristaux réceptacles. Chacun des champions de l’Impie en reçu un ainsi que la mission d’en faire bonne garde.
A Atlanta, l’oracle fit sa dernière prophétie, un héros, de la race des Hommes, en terminerait définitivement avec le mal et vaincrait a tout jamais l’Impie et ses hordes. L’être infernal se moqua d’une telle prédiction, il ne restait aucun homme à craindre, il ne restait rien.
Maintenant le monde de Solaris était à nouveau sous le joug de l’Impie et de ses sbires qui, au grand délice de leur immonde maitre, tourmentaient les rares survivants.
La nature nomade et neutre des Askopas fut leur sauvegarde, n’ayant aucun intérêt pour l’Impie, le peuple errant suivit son train de vie habituel sans être trop dérangés, même s’ils perdirent la protection de leur dieu.
Et ce fut ainsi durant des siècles…
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Chapitre 6: L’avènement du Sauveur.
La résistance:
Après leur défaite, quelques chamanes Centaures, Aquariens et d’autres, fuirent au sud, au pole gelé de Solaris, là, a l’aide d’une puissante magie, ils créèrent un petit havre de paix où ils pourraient se reposer et soigner leurs blessures. C‘est surtout là qu’allait se forger ce qu’aujourd’hui est connu comme « La résistance ».
Ayant connaissance de la dernière prophétie de l’oracle grâce aux Aquariens, les membres de la résistance usèrent leurs efforts pour s’infiltrer et de découvrir un éventuel survivant Humain, afin de pouvoir l’entrainer et le convertir en le sauveur annonce.
Après d’innombrables tentatives, ils durent se rendre à l’évidence, dans l’empire des Hommes, seule existait la mort et l’entrée aux domaines de l’Impie. Les aberrations erraient sans but et il était extrêmement dangereux de s’aventurer sur ces terres maudites.
Déçus par des décennies de recherche infructueuse, ils se lamentaient. Mais un jour, un de leurs légionnaires amena une surprise au campement, un Moine Scribe, celui-ci avait réussit à s’évader du monastère et était blesse après sa longue fuite a travers des régions infestées d’ennemis. L’espoir revint dans le cœur des rebelles lorsqu’ils surent qu’il n’arrivait pas les mains vides. Il amenait avec lui un très ancien traité.
Une fois guérit, il lut, et ce qu’ils découvrirent leur rendit l’espoir. Le traité était un tome des mémoires d’Athéna, la déesse expliquait que dans les confins de l’espace il existait d’autres mondes habites, et que sur l’un d’entre eux en particulier, la race des Hommes était présente.
Aussitôt, les chamanes se réunirent et se rendirent compte que, bien qu’ils fussent incapables de réunir le pouvoir nécessaire pour envoyer un des leurs sur cette lointaine planète, ils pouvaient par contre envoyer un objet capable de servir de lien entre les deux mondes. Ils charmèrent une magnifique pierre brillante amenée depuis l’ancien royaume des Cyclopes et la transformèrent en un « lien-de-teletransport-sans-retour », ce lien ne fonctionnerait qu0une seule fois, de la planète élue vers Solaris. De plus, la pierre était porteuse d’un sort en particulier qui empêchait qu’elle soit trouvée par autre chose qu’un héros au cœur pur. Les désespérés chamanes créèrent la pierre, l’envoyèrent, et attendirent…
Port d’Alexandrie: Egypte.
Un jeune guerrier en quête d’aventures arrive sur les suffocantes terres égyptiennes.
Très vite, il fait la connaissance d’un riche marchand qui lui confit une mission, il doit se diriger a l’est du désert, jusqu’a ce qu’il arrive a une antique cité oubliée, on raconte que seuls les plus valeureux peuvent accomplir une telle prouesse.
Dans une ancienne crypte il trouvera une ancienne gemme qu’il devra lui ramener.
L’aventurier se met en marche, après avoir vaincu les typiques animaux sauvages du désert, quelques bandits et les morts gardiens des lieux, réussit à s’approcher de la brillante pierre.
Mais, lorsqu’il la tient enfin dans sa main, quelque chose se passe, a sa surprise, une étrange magie l’entoure et le fait s’évanouir.
A son réveil, il se rend compte qu’il se trouve sur un terre étrange, il voit avec stupeur qu’il est entouré de créatures monstrueuses et d’hommes-bêtes.
. Présente des images, ou des vidéos comme tu l'a fait. Essaye de fixer une date (moin important) et surtout surtout ne jamais abanddoner son projet par ce que l'on croit qu'il est mal fait
).
. (non je rigole faites a votre rithme)
