Bon, z'êtes prêt, parce que là, je vais vous en mettre une tartine.
Jack de Molay
Templier
Niveau 49 : Normal
Équipement : Vault
Difficulté : EBMI
Localisation : En train de prié à la Chapelle.
Retour à Jalavia, ce matin, je me réveille avec une grosse envie... d'en découdre, pour ça, direction le Mistol afin de trouver, enfin, ce fameux Temple de Mel'Kaan.
La traversée de ce camp avancé qu'est le Mistol s'avère compliqué, effectivement, d'entrée, je me retrouve face à des squelettes capables en un seul sort de m'enlever la moitié de ma barre de vie. Grosse surprise, autant dire que j'ai avancé prudemment, heureusement, je m'en sort indemne, à leur inverse.
J'arrive alors au Couloir du Pénitent où je suis accueilli par des golems de pierre mal assemblés étant donnés qu'ils tombent comme des mouches, des grosses mouches, lorsque je les touches. Gros défaut de fabrication, j'espère, pour Lilith, qu'ils sont encore sous garanties.
Le Cœur de la Montagne me tend les bras, et me jette les fidèles destrier de Lilith, grand chevaux noirs aux pattes désarticulés, dans les miens.
J'emprunte le chemin de droite, il mène dans une caverne où la Clé d'Origine, récupérer plus tôt, m'ouvre un chemin débouchant dans une salle ou m'attend Morcock, le Creuseur de Puits, un ver immense qui essaye aussitôt de me gober. Après l'avoir disséqué, il s'avère qu'il ne possédais pas la clé me permettant de poursuivre mon avancée. Je rebrousse donc chemin et arrive aux Jardins du Temple.
Le Temple de Mel'Kaan m'attend plus loin, je le vois, seul difficulté, de taille, pour y accéder, je dois tuer son gardien et aspiré son âme dans la gemme prévue à cet effet.
Le Gardien est une sorte de chien ailé, il est résistant à l'électricité, évidemment, c'est mon effet principal. Tant pis, ce sera plus long, mais je vais me le faire à l'arc. Celui-ci se défend en essayant de me foudroyer, mais de bonnes résistances à la foudre combinée à une grosse régénération de santé font que je suis assez peinard, j'ai même le temps de m'occuper gentiment des Pengs l'entourant.
Ah !, Ça y est, je pénètre enfin dans le Temple de Mel'Kaan.
Je m'aperçois à l'instant que je devrais y retourner et ce pour deux raison, la Force d'abord et le Passage secret ensuite. Mais, pour l'heure, me voici en présence du Grand Maitre Démoniaque, c'est un sorcier de feu qui veut d'abord parlementer, "Ahah, il a senti ma puissance" pensais-je. Lorsqu'il comprend que je vais le tuer, il appelle aussitôt ses sbires à l'aide. Je me retrouve donc attaqué de toute part par ce terrible sorcier pyromane aidé par deux puissantes Liches, une de maladies, empoisonnantes, et l'autre de glace, frigorifiante. Le cumul des ces trois attaques mettent à mal toutes mes défenses, ce n'est qu'aux termes d'un combat acharnées, faisant preuves de toutes mes ressources, et d'une grande ambition de vivre, que j'ai put m'en sortir.
Le Grand Maitre Démoniaque n'est plus, Mordak peut être fier de moi.
Je pénètre maintenant dans la cour du Temple, là, deux choix s'offrent à moi, soit accéder à la Chapelle, dont Mordak m'a fourni la clé, soit m'introduire dans la Prison.
Je choisis cette dernière.
Se glisser dans la Prison n'est pas chose difficile, le tout est de réussir à la traversée. Je recherche et décime tout ce qui s'y trouve, d'ailleurs, il est tout de même à noter que les prisonniers de Lilith ne trouvent rien de mieux à faire que m'attaquer lorsque je les libères plutôt que de rejoindre nos rangs, sont bêtes ces monstres.
Du coup, mauvais camp choisis oblige, je reste sans pitié et en fait des confettis.
Au détour d'un couloir, je vins à libérer un équipage entier séquestrer là par les attaquants de la plage d'Astéria. J'apprends alors qu'il s'agit de l'équipage du capitaine Sindar, le marin devant m'emmener sur l'île de l'Œil Rouge à condition que je retrouve son personnel justement. Je leur demande donc de retourner rejoindre leur capitaine et que je passerais plus tard.
Pour l'heure, je continue mes pérégrinations au sein de cette Prison. D'ailleurs, Cricket, une machine de guerre mutante me donne en mourant une petite clé dite de "La Fin".
Chouette, je vais pouvoir repartir dans les cavernes du Cœur de la Montagne.
Voulant terminer de libéré cette prison du joug de lilith je continue ma progression et arrive dans la dernière cellule. Avant d'y pénétrer, tout un tas de signes et de messages me mettent en garde contre ce qui s'y trouve. Je commence à ralentir l'allure, à la limite de l'avance à recul, me demandant ce que je faisais encore là, lorsque je m'aperçois qu'il est déjà trop tard, je suis entrer dans cette cellule, l'antre du diable, celle de Toxeus.
Il se tient devant moi, cet Artisan de la Fin du Monde me regarde de ses grands yeux globuleux. Il tient dans ses mains décharnées avides des morts à venir une épée gigantesque taillé dans le plus puissant métal, la lame est rouge sang, preuves de sa voracité. Dans l'autre mains, puissamment arnachés au bras, un bouclier, celui-ci, visiblement, à été confectionné avec les os prélevés sur les corps sans vies des victimes de son possesseur, la taille de cette égide est telle que cent hommes pourrais s'y abriter.
Ça y est, il bouge sa grande carcasse, il m'a vue et s'approche de moi, mes genoux s'entre-chocs, je lui décoche une flèche, puis une autre, il s'approche toujours, je me ressaisi et décide alors de disparaitre et réapparaitre à ses pieds, mais je ne m'étais pas trompé, la force de son bras de bouclier combiné à la puissance d'esquive de celui-ci on anéanti mon attaque. Je me retrouve là, surpris, désarmé, à sa merci. C'en est finis de moi. Qu'ai-je fais, pourquoi ai-je voulu à tout prix nettoyer cette ultime cellule.
Mais revenons à l'action, je suis donc comme paralysé à ses pieds, il lève alors son énorme bras, et m'assène un coup terrible, dévastateur, puis un autre, et encore un.
Je m'aperçois alors qu'à l'inverse du puissant Toxé, celui-ci n'est pas plus dangereux pour moi qu'un banc de moustiques affamés.
Je me ressaisi alors à nouveau, fous de joie de ne pas décéder dans les minutes à venir, prend mon temps, et finis par le tuer au bout d'une bonne minutes (pour vous, le temps ne s'écoulant pas pareil sur Jalavia).
Il est mort, ce n'est plus maintenant qu'un tas d'os craquant sous mes pas. la Prison est nettoyé, il n'y as plus la moindre âme qui vive dans ces murs.
Je décide donc de retourner dans les cavernes du Cœur de la Montagne munis de la Clé de La Fin. J'ouvre la seconde porte et derrière celle-ci se cachais Celui Qui n'a Pas de Nom. Plus besoin de lui en chercher un, il n'en aura jamais l'utilité.
Après avoir vidé les coffres aux alentours, je me rend à Astéria afin de rencontrer pour la seconde fois le capitaine Sindar. Celui-ci me remercie d'avoir sauver son équipage et m'invite à son bord à destination de l'Île de l'Œil Rouge. J'accepte.
Je vous passe la narration du voyage en mer, car j'ai été malade pendant tout le trajet, je suis donc resté alité dans ma cabine toute la traversée.
J'arrive sur une plage magnifique avec une mer d'un bleu azur somptueux, un mélange des Caraïbes et de Cuba, pour l'accueil moins chaleureux, par rapport à la température, que m'ont offert les habitants. Sitôt débarqué une petite armée de crabe et de gros chat orange (non ce n'étais pas des parents de Garfield, j'ai vérifié) me sautent dessus.
Je fend l'air de mes flèches et de ma lance et me fraye un chemin jusqu'au Passage oriental de l'île. Je traverse ces grottes et arrive sur une nouvelle partie de l'île.
Je suis alors agressé par une autre sorte de population des batraciens et la végétations environnantes. je continue malgré tout ma progression, descend par hasard le long d'une immense liane, et arrive devant Boru, le bourru Cœur de la jungle. Je le tue et retrouve dans ses entrailles un champignon qu'il n'avais pas eu le temps de digérer. Voici mon premier ingrédient pour la potion qui sauvera Léopolinda.
Je reprend ma traverser et abouti dans les Entrailles de l'île.
Cet endroit me conduis jusqu'au cratère d'un volcan. Là, entre deux cheminées, je trouve mon second ingrédient, une fleur, coincé entre les dents d'un démon ailé, Boréas de Serra. J'arrive tout juste à attrapé la fleur, du bout de ma lance, avant que le démon disparaisse, comme happé, par la lave en fusion. Avec une aile froissé, il est beaucoup plus délicat de voler.
Je retourne sur la première partie de l'île et m'engouffre dans la seconde cavité, le Passage Septentrional, qui me conduis sur une presqu'île gavé de gorgone. Bon, alors, comme d'hab, je tue tout le monde, y compris leur Impératrice qui vouais un culte à de pauvres avant-bras de Lazare et prend un radeau en direction de l'Île Creuse.
C'est une toute petite Île, du moins en surface, car en effet, elle est peuplé de fourmis géante qui ont donc creusé des galeries impressionnantes et labyrinthiques sous la surface des eaux. malheureusement, je ne peut pas, tel le Petit Poucet, semé sur ma route de petits cailloux blanc et je ne vais pas marquer, comme j'en ais eu l'idée, ma progression au marqueur directement sur mon écran. une avancée lente et méthodique est donc de rigueur dans ce type d'environnement. De toute façon, je ne peut pas aller plus vite étant donné que j'ai plein de fourmis dans les jambes.
Par ce réseaux de galeries, je parviens jusqu'à la Chambre de la Reine qui, une fois tuer, me remet le plus beau joyau parant sa couronne, une racine, mon troisième et dernier ingrédients.
Les trois ingrédients en poche, je retourne à Astéria et les tends à Seonnyn, le père de Léopolinda, qui me remercie en m'envoyant vers le disciple Cain qui me donne un parchemin de Cœur.
Maintenant, je dois me rendre à la Chapelle mais, comme je suis très fatigué de toute cette aventure, et un peu malade encore, je dois bien le reconnaitre, je vais d'abord profité d'être à Astéria pour me reposer un peu.
Je n'ai pas beaucoup de temps, même pas celui de me relire, je m'excuse par avance pour les fautes que vous pourrez y déceler. bonne nuit.
